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Nice Panda

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Tout ce qui a été posté par Nice Panda

  1. Alors, ça ne tombe peut-être pas dans le putassier mais j'aurais presque préféré, tant j'ai pas trouvé ça folichon... Sans doute le voir si tard joue-t-il contre lui, tant il a été copié, notamment par toutes les séries policières des années 80 et 90 mettant en scène la vie d'un commissariat. N'empêche, en l'état, c'est quand même pas bien nerveux, assez attendu et, en plus, pas super bien joué. La faute à un déroulement des plus prévisibles et à une mise en scène pas franchement inspirée (j'avoue avoir un peu halluciné en entendant Boukhrief, dans les bonus du dvd, comparer Fleischer aux plus grands). Que Tavernier s'en soit inspiré semble presque logique tant L 627 m'a laissé le souvenir d'un machin plat et appliqué...
  2. L'histoire de Jimmy Arnaud, un policier texan qui essaie tant bien que mal d'élever sa fille. Le portrait tragi-comique d'une figure d'une Amérique vacillante. Après un été peu avare en déceptions, la rentrée promettait de débuter sur les chapeaux de roues avec ce titre acclamé dans tous les festivals où il est passé et bénéficiant d'une dithyrambe critique tout à fait déraisonnable. C'est, du coup, l'incompréhension qui saisit à la vision de la chose tant je ne vois pas ce qui a pu faire tomber à ce point en pamoison ses adorateurs. Non que ce soit mauvais ou inregardable. Mais il s'agit "juste" d'un petit film indé comme les US nous en envoient régulièrement, ni pire ni franchement meilleur qu'un autre. Le résumé ci-dessus relatant, à peu près, tout le déroulement que rien ou presque ne viendra faire dévier... On sent, certes, bien que Jim Cummings (auteur, réalisateur et acteur principal, qui adapte ici en long-métrage un court tourné en 2016) vise le constant décalage, que ce soit à travers quelques scènes censément absurdes, des plans qu'il fait durer exprès trop longtemps ou les actions souvent à côté de la plaque de son flic borderline. Mais il vise, manque de pot, souvent à côté, ne se montrant ni suffisamment drôle ni vraiment émouvant. Ce qui fait qu'on en vient à, peu à peu, se désintéresser du sort des personnages et ne plus se sentir concerné par ce qui se déroule à l'écran... (si le Audiard qui sort mercredi s'avère nouvelle déconvenue, je vais finir par ne plus aller au ciné... ) JTjYRFZOf4I
  3. Oh, la jolie fôte d'ortograf, en majuscules bien grasses... (ça vous apprendra, bande de mécréants)
  4. Best argument ever. Sinon, même sans être fan hardcore de Belmondo comme beaucoup, ce film-ci (comme d'ailleurs, les deux précédents avec De Broca), c'est du 10/10, du collector, de l'intouchable (à prononcer avec la voix du Bébel des Guignols).
  5. Nice Panda

    Vos concerts bis

    Eugene qui va mieux... L1Gmnoo99ws
  6. Je ne perdrai ni temps ni énergie à répondre...
  7. En même temps, presque une heure et demie de bonus du plus mauvais titre de son réal (je mets Dune à part)...
  8. Moi, j'aime bien l'album de Lou Reed et Metallica.
  9. Faut-il ne jamais avoir vu The Wiz pour lui coller une bonne réputation. Sinon, putain, j'avais oublié l'existence de ce remake... Il avait aussi fait ça : Un sous-Witness (avec Melanie Griffiths en lieu et place de Harrison Ford) qui se passe dans le milieu juif hassidique de NY. Ah, on la ramène tout de suite moins avec Lumet, hein ?!
  10. Il ne le dit peut-être pas comme ça mais pas loin quand même. Sinon, j'ai attendu que tout soit en ligne pour voir ça en une seule fois et c'était vraiment bien. Surtout que le doc a la bonne idée de ne pas se focaliser exclusivement sur le mag mais d'en profiter pour établir une sorte d'état des lieux du bis en France ainsi que de l'Histoire des fanzines durant la glorieuse époque des 70's. On sent d'ailleurs la passion contagieuse de ces débuts à travers les témoignages des intervenants l'ayant vécue : quelle période dorée ça a du être ! (même si je l'idéalise probablement quelque peu) Content de voir, sinon, que "l'affaire Le Pen", loin d'être passée sous silence, est commentée sans langue de bois par plusieurs des protagonistes, Toullec et Guignebert en tête. Tout ça m'a rappelé de beaux souvenirs et les (nombreuses) raisons pour lesquelles j'ai tant aimé ce titre, au ton alors unique. Ça fait un bon moment que je ne le lis plus que de manière irrégulière (le chopant de temps à autre en bibliothèque), aucun numéro ne m'ayant, pour l'instant, donné envie de m'y replonger plus avant. Sans pour autant savoir si c'est du à la qualité déclinante du journal ou à l'époque extrêmement pauvre en matière de ciné de genre. Un peu des deux sans doute...
  11. Je rajoute Les oiseaux et on a, pour moi, le podium qui constitue le sommet de l'oeuvre de Alfred.
  12. À mon tour : j'avoue avoir toujours trouvé la période dite "James Stewart" de Hitchcock aussi poussiéreuse qu'ennuyeuse...
  13. (c'est Bibi. Je l'ai effacé suite à une mauvaise manip et le remets donc à point nommé) J'ai pas trouvé ça désagréable (surtout au vu de ce qu'annonçait la rumeur). Alors, certes, on n'est en présence ni du nouveau Un cri dans l'océan, ni du Peur bleue du 21ème siècle. C'est écrit par un gosse de douze ans, ça manque cruellement de gore (belle occasion manquée que cette scène de la plage) et il ne doit pas manquer UN SEUL des clichés inhérents au genre. Pour autant, l'ensemble enquille ce qu'il faut de péripéties et s'avère suffisamment divertissant pour qu'on ne sente pas trop le temps passer - ce qui est la seule chose que je demande à ce genre de produit. Et qu'importe si j'aurai tout oublié d'ici la fin de semaine (ou de journée)...
  14. Nice Panda

    Lukas - Julien Leclercq - 2018

    C'est ce que j'allais écrire : Braqueurs était pas si mal.
  15. Pas vu celui-ci mais j'avais trouvé son Jimmy Rivière vraiment bien : un peu inabouti mais porteur d'une ambiance particulière et riche de promesses.
  16. Rien de plus à ajouter. Je ne suis, en général, déjà pas client du ciné de Gray mais espérais que le sujet lui permette d'un peu se sortir les doigts. Sauf que non : aucune gestion du temps, aucune tension, aucun ressenti de l'obsession du personnage... Robert Pattinson a une barbe. Voilà.
  17. J'ai beau être fan hardcore de Groening, j'ai du me forcer pour en mater trois. Et ça va pour l'instant en rester là, vu que Netflix vient de mettre en ligne la saison 9 de Archer !
  18. Au début des années 70, Ron Stallworth devient le premier officier Noir américain du Colorado Springs Police Department. Il se fixe alors une mission des plus périlleuses : infiltrer le Ku Klux Klan pour en dénoncer les exactions. Et une déception de plus au sein de ce morose été ciné... Celui-ci, j'y allais pourtant convaincu d'avance, tant le sujet s'annonçait over the top, que le buzz semblait démesuré depuis Cannes et qu'il m'est arrivé de soutenir le réal même pour certains de ses errements les plus improbables (ouais, le seul au monde qui n'ait pas détesté son remake de Old Boy, c'est Bibi). Sauf que rien ne fonctionne vraiment. D'une matière pourtant hallucinante, Lee tire un film pépère, ni suffisamment tendu, ni vraiment drôle - ou, en tous cas, pas autant qu'il le souhaiterait. Ça se suit sans déplaisir, ni ennui. Mais sans réelle implication non plus. Les acteurs font le job, la reconstitution d'époque est soignée mais rien ne dépasse et on ne se sent guère plus impliqué que ça. Le seul moment sortant du lot Dommage... pFc6I0rgmgY
  19. Depuis le 4, j'ai envie de voir le perso de Pegg mourir salement dès qu'il apparaît à l'écran...
  20. Avec tout ça, ils vont presque réussi à faire oublier à quel point le 2 était bien de la merde.
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