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yume

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Tout ce qui a été posté par yume

  1. Je crois que c'était plutôt Alain Chabat... Ce qui n'en reste pas moins étonnant. Chabat a scénarisé le troisieme tome de la série. Mais de toute façon la bd est inadaptable. Personne n'osera foutre de la thune pour produire un mélange de pédophilie post punk sous acide et violence gratuite, meme si c'est de l'humour. Pour revenir à Crying Freeman, comme le dit Post, le film doit énormément au montage de David Wu, qui le sauve de la platitude totale en créant du lyrisme et du rythme. Apres, le film n'est pas non plus super convaincant. Ca reste un bel essai, qui réussit à planter un personnage iconique et retranscrire l'ambiance du début du manga (avant que ça parte en live)
  2. yume

    Backdraft - Ron Howard (1991)

    Vu hier soir pour la première fois. Clairement, ce n’est pas finaud. Histoire pourrie, avec une rivalité entre frères bien moisie, des situations mille fois vues, un héroïsme lyrique pourrigolo (l’intro notamment), des acteurs qui cabotinent, un esthétisme fin 80-début 90 qui vieillit mal… Mais purée les rares scènes de feu sont assez tétanisantes. Entre la frontale en short sans respirateur au début dans l’atelier et la scène finale, la mise en scène rend l’élément feu hyper vivant, inquiétant….. surtout que la dimension sonore est ahurissante. C’est même plutôt là que Bacdraft m’a le plus plu.
  3. yume

    Takashi Miike 三池 崇史

    Je le trouve au contraire plutôt bien équilibré, pensé et réalisé. Le film est - hormis sa fin blobesque - hyper sobre, mais peut être un peu long - enfin, surement un peu long, vu que c'est du Miike et qu'il a du mal à gérer son rythme et l’intérêt du contenu qu'il filme. Un de mes Miike préféré. Le 2 se transforme en film de super héros bien naze, avec cependant un futur dictatorial amusant et une Zebra-queen en cuir moulant toute jolie. Le reste est à chier.
  4. yume

    Doctor Who 2011

    Season Premiere 2012 en état de grâce ! Save the Daleks !!!!!! putain, fallait oser le faire. Et tout l'épisode est de cet acabit avec une fin géniallissime dont j’attends avec impatience les conséquences. (Karen Gillian joue cependant comme une chaussette tout du long) Le second est un délire pulp, un peu épuisant. 'Dinosaurs in a spaceship' rien que le titre vaut le jus. Par contre c'est clairement un loner, qui évacue à la va vite la relation brisée Amy-Rory. Et plus ça va, plus j'adore Matt Smith dans le role du Doctor.
  5. yume

    Takashi Miike 三池 崇史

    Si on prend depuis 2007 Sukiyaki Western: Django : du eastern décérébré, qui n'arrive pas à être fun. Grosse foirade. Crows Zero : un film de branleur Like a Dragon : pas vu Detective Story : pas vu mais bonne réput' God's Puzzle : pas vu Yatterman : un gros plaisir coupable, imho, mais c'est bas du front tout le long avec un sous texte sexuel énorme (revisiter le générique du DA 70's en un long orgasme, fallait le faire) Crows Zero 2 : le 1 en pire; ce qui mérite le respect Thirteen Assassins : sympa, mais mille coudées en dessous de l'original Zebraman 2 : ou comment chier sur le concept sympa du 1 Ninja Kids!!! : mon cerveau a crié pitiéééééééééé, puis a fondu Hara-Kiri: Death of a Samurai : décalquage du Kobayashi. Film sans âme, mais diablement bien torché (puisque décalqué sur l'original) Ace Attorney : fallait des bollocks pour adapter le jeu DS. Le résultat est nul mais mérite d'être vu Ai to Makoto : pa vu Clairement, comme le dit Riton, le Miike période dtv foutraque c'est terminé. Il y a tjs quelques fulgurances et marques de fabrique, mais il a tourné mainstream, avec une étiquette publicitaire "punk" qui lui permet, je pense, d'avoir une marge de manœuvre vis à vis des comités de production; qui de toute façon cherchait un mec capable de tourner vite, à couts réduits et avec de l'expérience. Et dans le genre je tourne plus vite que mon ombre, Miike se place là.
  6. yume

    Takashi Miike 三池 崇史

    Il est devenu respectable depuis qu'il a fait des films qui marchent au BO et qu'il est financé par des gros groupes. Il alterne films manga-like multicolores avec blagues scato et imagerie sexuelle second degré, et trucs bien lents et mous dont des remakes / décalquages de classiques du chambara. Rien de bien palpitant, en somme. Je n'ai jamais été fan de toute façon.
  7. ca me donne envie de revoir Van Helsing
  8. je l'aime beaucoup cette saison. J'ai eu du mal à m'y remettre à cause d'une saison précédente qui avait été un calvaire total à regarder jusqu'au bout, mais dès le 3eme épisode cette nouvelle saison redecolle, voire meme s'envole à des hauteurs insoupçonnées. Déjà Sookie est moins gourdasse. On voit moins l'autre tanche de vampire qui lui servait de copain et surtout les showrunners mettent en place une mythologie, pas nouvelle ni transcendante, mais qui donne enfin du fond et permet l'éclatement des arcs narratifs. C'est quand meme ultra con, naif, vulgaire, mais j'aime bien.
  9. yume

    La critique cinéma : Sujet général

    Le souci à mon avis c'est qu'aujourd'hui les critiques professionnels ne creusent pas plus loin que le scénario de façade sans s'attacher à des choses purement cinéma que sont les divers éléments de langage cinématographique et leur utilisation en soutien du propos. On critique un film comme on critique un roman, une pièce de théâtre ou, pire, une blague de tonton Georges le dimanche midi. On critique par rapport à ses acquis, ses attentes, son propre plaisir. Ce qui est biaisé. Pas inintéressant (quelques rares fois), mais pas vraiment - au final - ce que ça devrait être. Ça ne m’intéresse pas qu'un soit disant spécialiste cinéma me dise si il a aimé ou non. Je veux qu'il me cause cinéma, pas ressenti premier degré.
  10. yume

    Title dropping

    Je suis en train d'écrire un scénario de jeu de role (pour publication) et j'aimerai y adjoindre quelques titres de films "références" à éventuellement voir pour se faire une idée de l'ambiance. Le scénario cause donc, dans les grandes lignes, d'un village reculé et consaguin, avec viols, violences conjugales, pédophilie, absence d'hygiène et - bien sur - meutres sanglants avec un revenant vengeur. Je pensais à la meute de Franck Richard, Sheitan ou même Frontière(s) pour le coté Freaks violents. Mais comme mes connaissances en cinéma bis, gore, horreur (...) sont ultra limitées, je suis preneur de titres de films qui traite de l'un ou l'autre (voire en meme temps) de ces sujets / idées. A votre bon coeur.....
  11. déterrage de topic. Vu pour la première fois en début de semaine, troisième partie de soirée sur une chaine TNT. Je n'avais eu que des échos mitigés, et j'ai plutôt été enthousiaste pendant une grosse partie du film. Formellement c'est pas top, mais Farrugia a bien géré son rythme / montage en allant à l'essentiel. Pas de gras, de longs plans inutile. Tout ce qui est à l'écran sert soit l'histoire, soit la blague. Et coté humour, j'ai trouvé ça vraiment drôle. Le cachet "Nuls" (ou canal grande époque) est bien là, dans le phrasé, l'absurdité de certains dialogues, le décalage, le je-te-rentre-de-la-blague-foireuse-a-coup-de-bourrin-et-ça-en-devient-drôle (le passage dans le bar vers le début...), les personnages caractérisés par leurs défauts plutôt que les qualités (le père de Delphine et son cor de chasse ou l'amie de Delphine - pour une des meilleurs scènes du film d'ailleurs). Franchement j'avais la banane de bout en bout. Après coté histoire, c'est ultra classique finalement mais l'angle d'approche (une télé réalité en fait, avec rappel constants que l'équipe de tournage est à coté des personnages) évite habilement la banalité du propos. Je suis bien content de l'avoir - enfin - vu. Et y'a une galerie énorme de guests ! impressionnant.
  12. euh, non.... (meme si j'aime bcp Ploy) Si tu ne croches pas à Invisible Waves, il y a quand meme peu de chances que tu croches à la filmo de Pen-ek. Je dirai quand meme que Last Life in the Universe est le mieux pour débuter (bon en fait les mieux c'est 69, Monrak Transistor et Fun Bar Karaoke, qui sont ses 3 premiers films et posent les bases de tout le reste, avec un rythme cependant largement moins neurasthénique. mais ils sont pas simples à se procurer) Perso, je suis fasciné par son travail formel. Je me suis emmerdé devant Invisible Waves (à part le passage sur le bateau), à moitié sur Ploy (à part l'actrice), Nymph, et meme un peu sur Headshot. Mais rien n'y fait, je suis conquis par sa maitrise technique, son rythme, sa direction d'acteur, ses choix musicaux, son humour..... Meme si finalement c'est souvent lent, et un peu vide, j'aime ce qu'il fait. N'empeche que Invisible Waves, c'est un film pas fameux dans lequel je pense qu'il s'est laissé emporté avec bcp trop de contraintes. Et sinon Ratanaruang est un mec vraiment gentil. Pour ceux qui ont quelques minutes > interview par bibi, faite fin février.
  13. yume

    Redline - Takeshi Koike (2009)

    Pour ceux qui ont aimé Redline et le boulot hallucinant (et couillu) de Koike, je conseille fortement son Trava : Fist Planet. Ca date de 2003, c'est co-real avec Ishii Katsuhito (principalement pour des histoires de budget car c'est surtout Koike qui imprime sa marque), et ça passe dans le meme univers que Redline (d'ailleurs Trava et Shinkai sont dans Redline). De la très bonne came !
  14. Bon bah moi j'ai adoré, alors que plein de fois j'ai failli me facepalmer devant autant de jemenfoutisme scénaristique et narratif. J'aurai réellement bien pris une grosse demi heure en plus pour etoffer le personnage de Bane, son coté nemesis imbattable, ainsi que l'anarchie provoquée dans Gotham. Pour ma part, ça conclue bien la trilogie (si on prend la fin comme un reve d'Alfred) Et Anne Hataway, je l'ai trouvé étonnante. En plus d'etre méchamment sexy.
  15. SAINT ROW THE THIRD C'est assez moche, plein de bugs minimes, mais c'est d'un mauvais gout tellement extreme dans les situations, les blagues, le design et les idées que ça en devient jouissif. Et notre personnage est tellement invincible (sans compter l'arsenal de guerre) qu'on peut se lancer dans les actions les plus folles sans craindre grand chose comme dans un film de Bay mais en plus regressif et putassier En plus c'est parsemé de petits défis à la con comme insulter les gangs adverses, faire du surf sur le toit des voitures, jouer à une sorte de Running Man..... Et j'ai eu du mal à me remettre de leur spot pub pour les garages Rim Jobs. Rim Jobs: It only sounds weird until you try it.
  16. yume

    Strike back [2010- ????]

    Allez je continue sur ma lancée, avec la saison 02, intitulée pour l’occasion Strike Back : project Dawn. C’est cette fois ci une co-prod UK-US avec coté US la chaine Cinemax, qui est opérée par HBO. Une sorte de gage de qualité niveau production design et thunes mises dans le projet et bien sûr promesse de scènes de fesse bien inutiles et moult plan racoleurs. D’ailleurs ça ne loupe pas, dans la saison on a notre quota de seins, fesses et coïts sauvages placés de façon gratuite. Niveau histoire, la saison est en 10 épisodes avec 5 histoires de 2 épisodes liées entre elles par un vrai fil rouge : le Project Dawn du titre. C’est un ce fil rouge qui faisait défaut à la première saison, et là ça solidifie clairement le bousin avec une vraie menace traitée de façon réaliste au niveau géopolitique. Sans spoiler, la base est l’excuse US pour envahir l’Irak : la présence supposée d’armes de destruction massive. Là-dessus, les scénaristes brodent une histoire carrée et efficace (même si la fin manque bêtement de peps), et placent le déroulement dans des places chaudes du globe avec toujours ce même soin apporté à une sorte de réalisme. On a ainsi une prise d’otage d’un palace en Inde (rappelant Mumbai), un passage en Afrique de l’Est avec les tribus et les génocides, le Kossovo, la Tchétchénie…… Ca voyage donc beaucoup. Scénario solide. Et surtout ça surbutte du début à la fin niveau action et badass atitude. Les deux personnages principaux sont cette fois un commando anglais accompagné d’un ex Delta Force américain, et ce sont de vrais tueurs. On est loin des clowns des autres séries, les mecs s’infiltrent, coupent des gorges, frappent des femmes…. Jack Bauer ferait presque gentil à côté. Bon forcément ils s’en prennent aussi plein les dents, mais avec l’approche réaliste voulue on a le droit à de superbes scènes commando qui ne semblent finalement jamais too-much. Et l’alchémie / antagonisme entre les deux gars est bien gérée, sans tomber dans le buddy movie. L’US est plus décontracté en apparence mais ce n’est pas un boulet. Les ennemis ne sont pas en reste, bien caractérisés. J’ai dévoré les 10 épisodes en 2 soirs. Si à posteriori j’ai des réserves sur la première saison, je suis là totalement conquis. (à noter que le héros de la saison 1 apparait dans le premier épisode) Vivement la saison 3 cette année !
  17. yume

    Strike back [2010- ????]

    A froid après quelques jours : - chaque histoire a en fait le meme déroulement. Porter va sur le terrain tout seul avec sa bite et son couteau. Il doit libérer / récupérer quelqu'un. Pour ça il commence par subtilement mettre les pieds dans le plat local et se faire enlever. Apres il concocte un plan d'évasion. Généralement ça tourne mal, il se prend une balle. Et il y a une histoire d'espionnage / contre espionnage / CIA / MI6 derrière tout ça ce qui fait que finalement Porter il se fait baiser - les acteurs secondaires jouant les cibles à sauver sont super bons. Une milf, un vin diesel black et un ecossais cramé de la tete - les anglais aiment bien mener leurs espions sur le chemin de la déchéance. J'ai revu il y a peu la fin de MI5 saison 2, c'est exactement le meme principe. Le mec perd devant la puissance politico bureaucratique. - les américains sont présentés comme des gros pourris - il y a plein de headshots, suivis d'explosions de grenades qui font plus de dégats de zone qu'un missile balistique - Le pathos est étalé à la truelle N'empeche que j'aime bien Vais me faire la saison 2 ce week end.
  18. oui Mon premier Kitano. Vu trois fois en trois jours. Belle grosse baffe nihiliste. Et mon préféré du réalisateur avec Kid's return.
  19. Strike Back c’est une mini série anglaise (signe de qualité) basée sur des romans de Chris Ryan un ex SAS devenu une sacrée légende dans son métier lors de la première guerre d’Irak. Première saison : Irak. Début de la seconde guerre. Porter et son équipe sont envoyés en mission commando pour libérer un otage anglais ulta valuable. Durant la mission, face à tout jeune garçon porteur d’une ceinture d’explosifs, Porter refuse de suivre la procédure et au lieu de tuer le gamin il désamorce les explosifs puis assomme le gosse. Alors que la mission se déroule bien, trois de ses hommes se font abattre. Un quatrième, témoin de la scène, raconte que le jeune garçon s’est réveillé, a pris une arme et a tiré. De retour à la base, Porter donne sa démission. Il s’enfonce dans la dépression, perd sa femme et fille, et devient vigile dans les parkings du MI6. 7 ans plus tard alors qu’une journaliste anglaise est enlevée en Irak, Porter reconnait dans les ravisseurs le jeune garçon a qui a laissé, naguère, la vie sauve. Il demande à reprendre du service. Bon en fait là j’ai raconté que le début du premier épisode. La première saison se déroule sur 6 épisodes avec 3 histoires de 2 épisodes + 1 fil rouge général. On y suit donc la réintégration de Porter, puis ses missions solo commando pour le compte du MI6. Il y a une seconde saison de 10 épisodes que je n’ai pas vu, mais logiquement Porter s’y fait enlever et on suit le parcours d’un autre baroudeur à la testostérone bien dosée. Parce que Porter, c’est quand même un Héros, un vrai. Heureusement, la série reste quand même un brin réaliste et ne part pas dans des extrêmes. Le mec est ultra entrainé, prépare ses plans, préfère agir en silence, se prend régulièrement des balles qui lui font bien mal. Mais faut pas non plus s’attendre à une série avec un commando méthodique et froid. Porter est un gros sentimental, et c’est ce pathos qui gâche un peu la série. Ça passe dans les deux premiers, mais la partie au Zimbabwe en fait un peu trop, même si cela reste ultra plaisant à regarder. La série est friquée, les situations se tiennent, Richard Armitage a de la gueule, il y a un black qui joue comme Vin Diesel dans Fast & Furious et des jolies femmes. C’est pas la série du siècle, loin de là. Mais j’aime bien.
  20. en primaire, on avait le droit à notre disney annuel. Apres, mes souvenirs sont vagues. Mais je sais que durant ma période anglaise, on avait souvent le droit à des films projetés en cours, quelques fois en plusieurs séances. Dans les choses mémorables : des adaptations ou même des pièces de Shakespeare, le premier Indiana Jones, Akira (!!!!!!! ), des classiques N&B genre Chaplin, le Scott sur Colomb, le magicien d'Oz, et surtout 1984 qui fut une de mes premières vraies claques. De retour en France : des adaptations de Molière, Germinal...... en gros les classiques littéraires en version qui bouge ou des trucs historico plombants comme la liste de schindler. J'avais quand même des profs de français qui aimaient bien passer des films.
  21. yume

    Kenji Kawai

    je déteste le film, et je ne suis pas psychologiquement prêt à m'en infliger des souvenirs en écoutant la BO
  22. yume

    Kenji Kawai

    je me rend compte que je critique souvent Kenji Kawai pour ses dernieres compositions, mais putain le mec a quand meme pondu les OST de GITS, Patlabor, Avalon, Dark Water...... un mega grand, qui mérite respect éternel ne serait ce que pour Ghost in the Shell. J'ai des frissons à chaque écoute, et je l'écoute souvent....
  23. J'avais jamais vu le film et ait donc profité de la diffusion sur France 3 hier soir pour rattraper cet inexcusable oubli. Et j'ai bien aimé. La scène d'ouverture est hallucinante, et celle de fin n'a pas non plus à avoir honte. Spielberg maitrise sacrément bien ses plans, son montage, avec des passages en vue subjective bien immersifs. Bon par contre je m'attendais pour le débarquement à un truc dantesque et c'est finalement bien resserré sur pas grand monde. Mais ça claque bien ! Le reste du ton, Spielblerg fait un film de personnage avec un Tom Hanks bien chiant à prendre la pose avec son regard profond / torturé du mec qui est trop fort et respecté mais qui soufre. J'ai trouvé qu'il manquait de charisme par rapport à ce qu'il est censé représenter. Par contre les autres de la compagnie sont bien badass, surtout le sniper qui prie en dégommant ses cibles. A note aussi que les ressemblances avec Band of Brothers sont nombreuses dans plein de détails : le coté mystérieux du chef de troupe, le passage dans l'église..... la mini série a clairement pioché sur son grand frere.
  24. yume

    Piranha 3DD - John Gulager (2012)

    les pionniers du cinéma faisaient des films pour faire rêver les spectateurs. Ca fait chaud au coeur de constater que cette philosophie a perduré dans le temps.
  25. J’suis mitigé sur ce coup. J’avoue que j’ai bien rigolé, car le film est avant tout une comédie, avec ce qu’il faut de blagues et situations bien nulles, voire meme tendant vers le politiquement incorrect (Black to the moon !!!) ou d’u mauvais gout bien assumé et des personnages archi caricaturaux histoire de soutenir le tout. Quant au scénario il part d’un pitch ultra jouissif mais budget oblige il ne tient pas ses promesses sur le coté « on va vous foutre du zeppelin spatial qui lance des obus ». On a donc le droit à un long moment de A Nazi in New York, mais sans le syndrome visiteur (le décalage technologique censé engendrer des situations drolatiques). Mieux, c’est peut être dans cet arc scénaristique que Iron Sky se revele super bon, grace à une attaque bien directe envers les politiques (putain le clone de Sarah Palin qui souleve les foules avec un discours nazi !!! ). Apres, bah c’est une attaque steampunk. C’est joliment fait, mais bon…… Au milieu de tout ça, on a une histoire d’amour bien niaise mais avec une actrice mega chouquette, a qui les tenues de cuir moulante 3eme reich vont super bien. A voir, parce que ce n’est pas nul, et que le real fait des choses vraiment bien avec peu, et que ça pue l’amour du film de genre.
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