Aller au contenu

Binky

Members
  • Compteur de contenus

    850
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Binky

  1. Binky

    Heat - Michael Mann - 1995

    Le but, c'est de changer la donne. Faire cabotiner Pacino et demander à De Niro d'être particulièrement sobre (et il est particulièrement très bon). Mann l'a joué fine.
  2. Binky

    Heat - Michael Mann - 1995

    Personne ne l'a revu hier ? La présentation par Taddéi était bien désolante: aucun commentaire sur la mise en scène de Mann (ce film, ce n'est que DeNiro/Pacino) et des incongruités absolues du genre "Mann s'inspire de Tarantino et de ses films de gangsters ultra-violents" (il s'inspire pas de Shawn Levy plutôt ?)..."car, comme lui, il filme une fusillade en pleine rue. Rappelons que Tarantino fut le premier à imaginer ce genre de scène avec son Reservoir Dogs".peut être qu'un jour on balancera de vrais cinéphiles pour présenter les séances, mais bon, il ne faut pas rêver...(pour le coup, je n'accuse pas forcément Taddéi, mais l'ignare qui a écrit son texte, comprenez...)Je demande pas un Dionnet, un Dahan ou un Brion pour présenter ces séances, mais si c'est pour dire de telles conneries, autant balancer le film direct ! Le film, donc: un impérial film de genre très méditatif, contemplatif, mélancolique, quasi-naturaliste, au final westernien atmosphérique (et quel montage dans cette scène par exemple ! Une leçon de cinéma), tout cela allié à un sens du rythme indéniable, à un art du tempo inégalable, bref, du cinéma américain comme il fait bon en voir.
  3. Bon, j'imagine que vous avez tous vu l'épisode 2X03 de Sherlock. Brillant. Quelles sont vos déductions, à vous tous ?
  4. Binky

    Chronicle - Josh Trank (2012)

    Je trouve que la multiplication des angles est une super idée quand même. Il y a donc une majorité de spectateurs enthousiaste ici. Cyril...
  5. Binky

    Chronicle - Josh Trank (2012)

    Non mais vous inquiétez pas hein, Dieu vous pardonnera. A condition de vous confesser sur votre lit de mort, et d'avouer que c'est super bien. en plus Max Landis est sur Facebook
  6. Binky

    Chronicle - Josh Trank (2012)

    Palsambleu ! C'est juste que Kerozene n'a pas eu peur d'une poussée fiévreuse et à chaud d'enthousiasme immodéré et a balancé direct' un gros et cinglant CLAQUAGE DE BEIGNET. C'est vrai que toi, mon cher Kevo (tu es un mec bien) tu as dit "presque le claquage de beignet", et la grandiloquence moins nette du smiley utilisé a fait que ton message, fort pertinent au demeurant, est resté plus discret, moins net à première vue, mais effectivement...c'est cool. J'ai perdu le fil de ma phrase. Mais puisqu'on y est et que les posts positifs ont levé l'hypothèse: CHRONICLE, allez, profitons de cette soirée post-séance où l'enthousiasme est encore fou, bah c'est un
  7. Binky

    Chronicle - Josh Trank (2012)

    J'avais pas tout lu hein. Je fais un double-post, mais jute pour dire que Kerozene est un type bien. J'imagine qu'on ne va pas me bannir pour cette intention !
  8. Binky

    Chronicle - Josh Trank (2012)

    Ben Cyril ! Allez, quoi ! Je ne peux le croire ! Mais bon, je t'aime bien quand même (remarque, tu n'aimes pas non plus Little Nicky, ca n'a guère de rapport, mais voilà, que veux-tu. Aimes-tu les croque-monsieur ? Les galettes bretonnes ?) Tout le monde semble se foutre de ce petit film, pourtant c'est très bon. Je ne m'attendais PAS DU TOUT à cela et j'ai tout simplement adoré. Le concept lassant de la caméra à l'épaule détourné par de géniales idées de mise en scène, les acteurs tous super-crédibles, le concept super divertissant et attractif, l'intelligence autant technique que scénaristique, le final apocalyptique, le concept à la Jackass qui vire au drame glauque (FINAL APOCALYPTIQUE), tout, tout, tout. J'ai beaucoup aimé, et, étrangement, je suis le seul dans mon entourage jeune et cool à avoir pris le film dans la gueule, j'en attendais pas grand chose et je suis ravi. Respectueux, inventif. Max Landis, je retiens ton nom, vivement tes prochains trucs. Bon, vous allez encore dire que je suis jeune et fou, mais il faut bien que jeunesse se passe, non ?
  9. Au fait, le numéro dont parle DPG est très bien, le dossier en question est pas mal du tout, des trucs intéressants un peu partout, une belle couv', de bonnes tofs, bref, vous pouvez l'acheter.
  10. Binky

    The Artist (Michel Hazanavicius)

    Omar était très bien, mais le truc étrange, c'est qu'Omar, c'est, logiquement, un...Espoir, non ? Il aurait pas du remporter le César du Meilleur Espoir Masculin plutôt que, carrément, pour son premier (disons, deuxième) vrai grand rôle au cinoche, le César du Meilleur Acteur ?
  11. Personne pour causer du full frontal de Kirsten ?
  12. Binky

    The Artist (Michel Hazanavicius)

    Personne pour dire qu'un film trop récompensé est un flim de facho de merde de capitaliste de spectateurs beaufs sarkozystes mangeurs d'enfants ? Sinon, pour une fois, je suis fier d'Harvey et de Bob. Merci les mecs, c'était cool !
  13. Binky

    Césars 2010

    "Ceux qui aiment le cinéma ne regardent pas les Césars, sauf pour les décolletés". Confucius.
  14. Vu. J'y vais ? Donc Oui, c'est certain, ce n'est pas un chef d'oeuvre. Bien sûr. Mais moi, ce que je retiens c'est un peu le constat que le film laisse par rapport à la carrière de Fincher, et quel doux constat: il n'y a que Fincher pour faire un tel film. Il est clair et net qu'il bousille toute possibilité d'autre adaptation de l'oeuvre originelle. Mais plus que tout: j'adore la manière dont Fincher peut, avec aisance, faire un pied de nez à toute une court d'oies critiques y allant de leurs "film adulte" et autres descriptifs pubards (le thème des relations sensibles familiales, du traumatisme, dans The Game, c'était pas "déjà" adulte, ça, et bien avant Zodiac ?) ! Le mec te fait The Social Network, ou encore l'énorme Zodiac (il attend là une vraie élégance discrète dans la mise en scène), et là il te commence son film avec un clip hard-rock super-sensitif, le genre de délires qui fait vibrer n'importe quel djeunz. Bordel, il te fait une scène de torture avec du Enya en fond sonore, il te case de l'humour potache là où il ne faut pas, limite pour décrédibiliser toute tension. Le mec, au-delà d'un talent formel constant, et ce depuis des années, n'a eut de cesse que d'égarer ceux qui voulaient lui coller une étiquette. Et que le film soit bon ou mauvais, comme De Palma reste De Palma, Fincher reste...Fincher. Un auteur. Le seul à pouvoir te faire un tel film dans le paysage américain, en sachant que des gens iront le voir, comme The Game, parce que "c'est un film de David Fincher". Moi, voici ce que j'en dis. Après Mara, ce que je dirais de cette bombe ne pourrait être relativement objectif. Fincher, décidément, a le talent et semble vraiment le savoir... C'est Fincher qui transcende le matériau d'origine, comme avec The Game j'ai envie de dire. Parce que cette histoire de nazis à la Frontière(s), là... Et ce personnage de Lisbeth, autant homme (elle domine, il faut avouer), cliché rebelle (punk, hackeuse surdouée), relent de Zuckerberg par son autisme, mais en même temps, puissamment sensuelle et sexuelle...Je n'ai pas une héroïne si érotique au cinéma depuis un bout de temps, si peu superficielle...mais je comprends tes hésitations. Lisbeth fait tout, c'est pour cela que beaucoup trouvent que le film est en fait composé de deux films, l'un sur Craig et l'un sur Libseth, puis quand les deux se réunissent, ca devient vraiment bon ! Lisbeth c'est un hybride entre la supériorité (son don de l'informatique, sa force, limite son assurance) et la sensualité à mon sens. Le trip sur Lisbeth, c'est la raison pour laquelle beaucoup parlent du "retour du Fincher ado attardé de Fight Club". Car c'est tellement plus simple de cataloguer une bonne fois pour toutes un auteur soit comme un ado attardé, soit comme un cinéaste aduuuuuuulte. Personne ne se dit qu'il y a l'entre-deux, quand bien même Fincher a fait beaucoup de films adultes. Ah oui, je tilte en ce moment que même dans l'acte sexuel, Lisbeth est la dominatrice...(jusqu'au mordillage de tétons équivoque) (fichtre, je vais écrire pour les quotidiens féminins, y'aurait de quoi, vu le niveau ce ne serait pas très dur) Avec, malgré tout, cette gêne, avec une sorte d'humour potache dérangeant: "tu m'as violé, du coup je fais de même et je te ressors tes répliques, comme ça le public sait pas s'il doit sourire ou être choqué". Donc c'est un bon film. Voilà.
  15. Binky

    Bref sur Canal +

    Exact, alors que toute la série tournait autour d'un mec qui glande en attendant de pécho... (surtout que ce twist, c'est de la s.f, un peu comme si Brian O'Halloran chopait Rosario Dawson, ah ah ah !)
  16. Binky

    Starfix

    Bon bah je vous le conseille quand même, c'est intéressant, assez riche, pas mal du tout, ca montre avec pertinence la filiation avec Les Cahiers époque Truffaut (en terme d'esprit collégial, de "politique des auteurs", de théorisation, genre "une idée, un film") C'est pas donné mais je conseille.
  17. Tu pourras me dire ce que tu en penses, stp ? (ou quiconque le prend). Merci, je me tate vraiment ! D'autant plus que mon avis sur Les Cahiers est beaucoup plus, beaucoup plus positif depuis quelques mois (les derniers papiers de Malausa sont tous très bons)... Vu la couv, ca donne envie.
  18. Binky

    Starfix

    Ah tiens, je voulais dire "25" (euros) frais de port. Bon, ce qui m'a surpris, c'est la taille du fanzine. Il est mini. (plus petit qu'un Mickey Parade) mais question contenu ca fait 166 pages. Donc à voir. Police normale, ni minuscule, ni super-grosse. De bonnes illustrations même si un peu maladroitement placées: en plein milieu des phrases... A voir les photos qui circulent, on pourrait croire que le format (vu le prix) est celui d'un magazine normal en terme de longueur, alors que non. Pour le contenu, ca peut être intéressant. Même si je maintiens que le prix est élevé...(je vais le bouquiner et te dirais cela) Le bouquin est évidemment dédié à Lestang...
  19. Binky

    Starfix

    Mais il est mi-nus-cule ce mag ! 20 balles (02 avec frais de port) pour CA !
  20. Binky

    Les Gaous - Igor Sekulic (2004)

    Pas du tout, Igor Sekulic existe, il s'occupe d'une boite de distribution de film, plutot orienté TV et vidéo. Et bien je lui souhaite une longue carrière !
  21. J'ai enfin pu le revoir hier, et c'est juste l'une des meilleures comédies françaises de ces cent dernières années. Une parodie mctiernenne vachement bien chiadée (sais pas ce qu'avait pris Nemes ou son réal de seconde équipe, mais ca claque) aux répliques qui pètent (TOUTES les répliques), et le concept est en béton: deux heures d'impros (en apparence) du duo à son meilleur, l'impression de voir un gros budget classe au service de pitreries de gamins de quinze ans;
  22. Binky

    Les Gaous - Igor Sekulic (2004)

    Réalisé, certainement, par un pseudo de JM Poiré (qui en est le producteur), ce film est effectivement une bombe: au delà de l'histoire incompréhensible, des enjeux inexistants et du casting plus-improbable-tu-crèves, ce film totalement délirant et hypnotique mériterait sérieusement d'être étudié dans toutes les écoles de cinéma: on y voit le plus foireux des montages de toute l'histoire du Septième Art. C'est dire si je suis traumatisé. Quel film ! Merci à Virgin 17 qui repasse sérieusement ce monument de surréalisme à l'envie.
  23. Découvert, comme convenu, lors d'une sempiternelle soirée binouzes entre potes, et franchement, la jovialité tranquille caractéristique aux nanars classiques (d'autant plus qu'il est dispo en...DOUBLE SUCCES !!) s'est vite transformée en un gros froncement de sourcils général tendance wadafuck, dude ?. C'est bien simple. Entre les numéros IN-TER-MI-NABLES de ce branquignol affolant de Funny Man, ses pitreries pachydermiques soulignant au gras le gag d'une scène, entre la galerie de persos foireux (une rock star ratée post-hippie, un pov'con de beauf, un sosie de Verra, j'en passe), entre tout un humour post-Freddy, il y a déjà de quoi faire, mais le must de must reste tout de même... ces séquences trippesques artistiques comme il faut et inattendues ! (une pluie de feuilles de papiers, on ne sait pourquoi, une lettre de Mick Jagger, un clip-rock, les décors, wadafuck ??!) Et ouais ! C'est ce qui fait toute la saveur d'un nanar, quand ce dernier oscille dangereusement vers le ridicule shooté à la marijuana...et ca en devient pas seulement naze sur les bords mais fascinant. A conseiller avec plein de drogues, et bourré.
  24. Binky

    Muriel - P.J Hogan (1994)

    Pas beaucoup de gens ont causé de l'ost d'ABBA, alors qu'ABBA c'est juste trop bien !
  25. Binky

    Vieillir quand on est réalisateur ?!

    Me demande si Xavier Dolan va bien vieillir. C'était ma contribution, bye. D't'facon le seul qui vieillit bien c'est Verhoeven, épicétout, au cloaque et au bagne les Carpenter, Romero, Pokemon Argento et autres gus !
×
×
  • Créer...