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Big Fish - Tim Burton (2003)


Bast

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Big Fish 2003 tim Burton

Wikipedia :

Will Bloom a toujours été bercé par les récits de son père,

Edward Bloom, talentueux conteur d'histoire à l'imagination débordante...

au point que son fils finisse par lui reprocher de trop enchevêtrer réalité et fantaisie,

à propos de quoi éclate une dispute. Désormais adulte et marié, Will Bloom revient pourtant

voir son père lorsqu'il apprend sa mort imminente. C'est l'occasion pour lui de partir en quête

de vérité, de lever le voile sur la vie de son père, d'enfin comprendre l'incompréhensible, non

sans un brin de poésie, de sa relation filiale.

 

 

Vu sur le BlueRay Fr

J'ai enfin decouvert ce Burton ce week end.

Depuis sa sortie, je le rate a plein d'occasion et la, motivé par le bouquin que je lis en ce moment,

j'ai enfin sorti le blue ray qui attend sagement son tour depuis pas loin de deux ans.

Au final, je l'ai pris en plein nez et à ma grande surprise.

J'étais en larme les 5 dernières minutes tellement j'ai été touché par l'histoire de ce père et de son fils.

J'avais lu plein de chose qui me démotivait a le voir et en fait je ne sais pas si c'est pas son

meilleur film pour moi.

On retrouve la "Burton touch" dans les aventures du père mais enfin complétée par une histoire "adulte".

Les acteurs sont tous excellent, Jessica Lange et Albert Finney sont juste incroyables de justesse.

Jessica malgré son age est superbe. Pinaise ce sourire

Le jeu/personnage de Mc Gregor m'a géné au debut et puis en fait, c'est un personnage de fable, logique donc qu'il dénote.

Je sais que le film divise, signant pour certain la fin de Burton, j'ai franchement du mal a comprendre tellement on retrouve les thèmes Burtonien tout en renouvelant la forme et en s'éloignant enfin des thèmes d'ados auquel je trouve qu'il se cantonnait souvent (bouhou, je suis diffèrent, je veux pas grandir, les squelettes c'est cool et mon père c'est un salaud). Ceci dit, j'aime beaucoup tout ce que fait Burton.

Je n'ai deja plus aucun souvenir de la musique de Elfman, a voir si c'est bon signe ...

 

Bref, un bon Burton je ne sais pas mais un tres bon film c'est clair.

Je veux le revoir rapidement pour me confirmer (ou pas) son uber pesance

 

PS :Jessica je t'aiiiiiiiime.

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Le film qui m'a confirmé que j'ai totalement décroché du Burton des 2000. Vu au moins deux fois, et malgré tous les efforts déployés, rien n'y fait, je n'y crois pas vraiment. C'est joli, mais vain à mes yeux. Burton fait du Burton sans véritablement faire du Burton, c'est à l'aise dans son imagerie jusqu'à être très policée, à l'aise avec Hollywood : le freaks n'est plus.

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J'ai ressenti la même chose que Jérémie en fait.

 

Vu en salles, conditions parfaites, mais je me suis senti totalement étranger au film.

 

Il n'est pas mauvais en soi j'ai juste l'impression que c'est un reader digest du petit Burton illustré, un best of sans âme où il recycle ses obsessions et ses 2/3 bonnes idées dans une histoire et un univers qui ne m'ont pas du tout touché.

 

J'ai plein de potes qui adorent sont complètement fous de ce film qui les touche beaucoup, mais j'ai vraiment trouvé ça sans aucun intérêt, je suis pourtant pas un j'ai vieux con cynique vu que j'ai l'oeil qui mouille rien que si tu me colles un morceau de la BO d'Edward aux mains d'argent

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Je ne l'ai vu qu'une fois, à sa sortie. Je l'avais trouvé très mécanique dans son émotion "le film de la maturité", un peu rouillé, un peu prévisible aussi dans son traitement "à la Burton" obligatoire. Le gros point fort, étant les interprètes... la fin était assez joli dans mon souvenir.

Il faudrait le revoir... mais j'en ai pas plus envie que ça pour le moment.

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Je ne l'ai vu qu'une fois, à sa sortie. Je l'avais trouvé très mécanique dans son émotion "le film de la maturité", un peu rouillé, un peu prévisible aussi dans son traitement "à la Burton" obligatoire. Le gros point fort, étant les interprètes... la fin était assez joli dans mon souvenir.

Il faudrait le revoir... mais j'en ai pas plus envie que ça pour le moment.

 

C'est ce que je lui reprocherais aussi, cette étiquette supposée "mon film de la maturité" mais bon,

je ne sais pas du tout comment Burton a présenté le film a cette époque.

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J'avais pleuré à la fin, quand il met son père dans l'eau, mais j'avais aussi adoré Amélie Poulain au ciné, alors je ne sais pas trop si mon avis compte.

 

C'est le film Jeunet de la filmo de Burton, où on explique qu'il vaut mieux mentir que de montrer les choses telles qu'elles sont, parce que la vie c'est de la merde. Moi je dis pourquoi pas.

 

Par rapport à sa place dans la filmo de Burton, j'ai l'impression qu'après celui-là il a voulu revenir à ce que les fans attendaient (corpse bride, Sweeney Todd), mais que le coeur n'y est plus. Comme si Burton avait plus envie de faire ça, mais c'est son métier, alors il y va. Mais c'est peut-être une idée que je me fais et qui ne correspond à rien.

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Totalement vain pour ma part aussi... Je n'en garde que très peu de souvenir, mais le plus présent est que ça m'avait bien emmerdé. "Sleepy Hollow" m'avait déjà bien cassé les couilles, puis avec celui-ci, j'ai jeté l'éponge et j'ai compris que le Burton de "Beetlejuice" était mort et enterré depuis bien bien longtemps - ce que me confirme l'affreuse bande annonce de son "Alice au Pays des Merveilles".

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Je pense que Burton a la carrière inverse de pas mal de "yes man" qui s'affirment et deviennent potentiellement des réalisateurs intéressants, il a commencé par un style très perso et ses films deviennent de plus en plus aseptisés et génériques, à mon humble avis en tout cas.

 

Sweeney Todd étant une exception, j'ai bien aimé le film que j'ai trouvé plus culotté que les précédents, un paradoxe puisque j'ai trouvé la musique et les chansons insupportables

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Je trouve pas DU TOUT que "Big fish" soit moins personnel que tous ses films précédents. C'est juste que la personne a évolué entre temps. On peut trouver le Tim Burton des années 2000 moins "intéressant", moins original, voire moins atypique que celui des 90's, mais pour moi c'est plus une question de sensibilité, de point de vue, de gout, que d'un éventuel reniement ou d'un mec qui veut rentrer dans le rang ou devenir un "Yes man".

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Puis bon l'évolution de Burton est quand même pas si catastrophique que ça... "Sweeney Todd" était assez audacieux et frais, positivement déconcertant dans le genre.

Le problème de "Big Fish" qui est une commande, Spielberg devait le réaliser à la base, c'est que le matériau de base... je trouve qu'il la pas transcendé à la sauce Burton... alors qu'il sait jouer avec l'émotion au sens le plus ingrat qui soit au cinéma quand il est inspiré. Après tout "Edward" était aussi un mélo dans son registre.

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J'ai jamais dit que Burton était devenu un yes man, par contre je trouve - mais c'est moi - que son cinéma s'affadit, rentre un peu dans le rang.

 

On a eu une espèce de culmination avec Mars Attacks qui malgré ses défauts était encore un peu méchant et légèrement subversif, depuis les films de Burton sont systématiquement gentils, voire à la limite du niais (Charlie par exemple). Sweeney est un peu une exception.

 

Ca m'empêche pas de les regarder et même de les apprécier, et j'ai pas dit non plus qu'il s'était transformé en Aaron Norris, mais il a évolué c'est certain et on dira que ça me touche moins.

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On peut aussi dire que c'est un vendu

 

La preuve, après avoir fuit Disney parce qu'il se faisait chier à devoir obéire à Mickey et sa politique de con, le voila qui y retourne pour produire son "Alice au Pays des Merguez" qui semble aussi désincarné et artificiel qu'un téléfilm signé Jim Wynorsky. si c'est pas du retournement de veste ça!

 

Bon, je dis tout ça mais je ne le pense pas... ou alors qu'à moitié: j'aimerai vraiment passer du bon temps devant un film signé Burton comme ce fut le cas dans les 80's / début 90's. A vous lire, il va vraiment falloir que je jette un oeil à son Sweeney Todd....

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