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Curse of Chucky - Don Mancini - 2013


alfie

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Le projet de remake de l'original pour MGM patinant depuis des mois, le créateur de la saga tournera à partir du mois de Septembre au Canada une énième suite pour le compte de la branche direct-to-dvd des studios Universal. Brad Dourif est toujours la voix de la poupée de sang tandis que nous verrons à l'écran les trognes de Busey et Stallone (Jake et Frank).

 

Chucky arrives to wreck havoc within a family that’s regrouped for a funeral. In the wake of her mother’s passing, a young woman – in a wheelchair since birth – is forced to put up with her sister, brother-in-law, niece and their nanny as they say their goodbyes to mother. When people start turning up dead, the fearless Nica discovers the culprit might be a “strange doll” she was sent a couple of days earlier.

 

Unlike the last couple of “Chucky” movies, while there will be humour, there’s a lot more emphasis here on making the series scary again – so this’ll be a throwback to the first three “Child’s Play” movies.

 

Main characters in the film include heroine Nica; Barb, Nica’s older sister, a manipulative, controlling cow that nags her handsome husband Ian and 5-year-old daughter Alice; and Jill, the “smokin’ hot” nanny that’s sleeping with Ian. There’s also fun supporting characters like a meddling priest, who will come face-to-cross with Chucky, and of course, the deceased woman, mother Sarah. But, as I said, it’s Chucky who takes king credit – he’s who we want to see, and by golly, sounds like he’s back to his murderous ways.

 

As I said, this is a return to ‘nasty’ Chucky – the scary little son-of-a-bitch that leaves nobody standing around to get their shits and giggles as two plastic dolls play hide the plastic cabana via silhouette (in fact, the film completely skips over the last couple of sequels, essentially taking place after “Child’s Play 3″ – so there’s no Jennifer Tilly, sorry kids!). There’s a big-ass knife, and by golly, Chucky’s gonna use it – and in the most graphic of ways. There’s some very disturbing slaughter scenes planned for the flick.

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  • 11 months later...

 

Written and directed by Don Mancini, the film concerns Nica (Fiona Dourif), a young woman grieving over the gruesome suicide of her mother when her domineering older sister Barb (Danielle Bisutti) arrives with her young family in tow to help settle their mother’s affairs. As the sisters butt heads over Nica’s plans for the future, Barb’s young daughter comforts herself with a grinning, red-haired talking doll named Chucky (voiced again by Brad Dourif) that recently arrived mysteriously in the mail.

 

But as a string of brutal murders begins to terrorize the household, Nica suspects the doll may hold the key to the bloodshed. What she doesn’t know is that Chucky has a personal score to settle. He’s determined to finish a job he started more than 20 years earlier, and this time he’s going to see it through to the bloody and shocking end.

 

Source : shocktillyoudrop.com

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  • 5 weeks later...
  • 2 months later...

 

Le film vient de sortir en DTV aux États-Unis et vu le look, pas de doute qu'il s'agit d'un film prévu pour...

 

Mancini abandonne l'aspect parodique des deux derniers volets pour revenir à quelque chose de plus froid, plus proche du premier volet, mais avec une atmosphère différente : il se réclame du cinéma gothique, de James Whale...pourquoi pas.

Ici, une jeune paraplégique (jouée par la fille de Brad Dourif) et sa mère reçoivent un colis contenant la dite poupée, qui reprend ainsi vie et dezingue tout ce qui passe. Ce n'est pas trop mal filmé, bien que très impersonnel dans son casting et son esthétique, c'est même plutôt gore (décapitation, hache dans la gueule, électrocution, œil dévalant les escaliers...) : autant dire que le spectacle est pas déplaisant. Évidemment, on est un peu étonné par le nouveau look de Chucky (encore plus androgyne), qui sera alors expliqué au bout d'une demi-heure...

Le film a hélas les qualités de ses défauts : à force de la jouer old school, c'est vite plié, et Mancini essaye tant bien que mal de remettre les pendules à l'heure en replaçant le film dans un contexte très particulier. En effet, il s'agit d'une prequelle

qui précède La fiancée de Chucky

, sauf que Mancini semble plutôt réécrire l'action des films précédents, plutôt que de coller au détail près. Un peu douteux pour le coup

même si ça fait rudement plaisir de revoir Jennifer Tilly

.

Sympa sans plus.

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C'est très bien, un vrai film de cinéma à l'ancienne et honnête.

 

Si je peux me faire mettre, le film est bien une suite.

 

 

Utilisation de smartphones et ordi portables modernes, Chucky faisant reference aux familles Kincaid (Fiancée de Chucky) et Tilly (Seed of Chucky). Tiffany n'a pas de tatouage I Love Chucky sur la poitrine, il s'agit donc de l'actrice Jennifer Tilly possédée par son esprit, comme à la fin de Seed. Le meurtre du policier similaire est juste un clin d'oeil appuyé par la replique, "ils n'apprendront jamais".

 

 

Et en cas de succès, ce qui semble profiler, le 7 devrait raconter ce qui s'est passé pendant les six mois avant l'epilogue post generique.

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  • 2 months later...
  • 4 months later...

Pas plus client que ça de la saga mais j'ai, malgré tout, trouvé ce chapitre-ci fort honnête.

 

Unité de temps, de lieu et d'action : ça va à l'essentiel sans durer des plombes, y a du débordement gore plutôt sympathique et

le final évite même le happy-end facile

.

Sans parler du charme félin de Fiona Dourif...

 

Si tous les DTV pouvaient afficher telle tenue...

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  • 2 years later...

Et ben c'était pas trop mal, on retrouve l'esprit des premiers, fini les blagues grasses et rebonjour l'ambiance épouvante. Bon c'est à base d'effets moisis pour faire peur à base de faux semblant et de bruits d'orage mais les meurtres sont toujours aussi efficaces et amusant.

Chucky revient faire chier et ça fait du bien.

La fille de Brad fait flipper parce qu'elle ressemble trop à son père.

J'ai pas tout compris à la fin.

Et y a une scène post générique qui ne sert à rien mais qui est sympa pour une autre raison.

 

Je ne sais pas si c'est le dernier que Mancini va faire mais jusque-là c'est la seule franchise qui tient à peu près la route et qui n'est pas une succession d'épisodes sans âmes.

Et je me rends compte que les slashers sans éléments fantastiques et sans fun ça me fait profondément chier, F13 et Halloween m'ont peu passionné alors qu'avec des tarés comme Freddy et Chucky je m'amuse toujours.

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  • 4 years later...

Je rattrappe mon retard chuckien, merci Netflix, puisque je n'étais pas allé au-delà de "Bride...".

Après un "Seed of Chucky" plutôt médioce, surprise, "Curse..." est un vrai petit plaisir old school comme vous l'avez déjà tous dit plus haut. Efficace, premier degré, plutôt solidement mis en scène, le film capte l'attention rapidement. Dommage que la deuxième moitié soit en pilotage automatique: zéro surprise quant au bodycount, mais on se rettrape sur des effets mécaniques parfois bien gores. Merci Don!

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