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quand j'explore cet echange de discussions, qu'écoute-je ?


Basculo Cui Cui

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Kelis

 

C'est une méchante grosse conne elle putain ! Elle est venue en concert à Prague, et bonjour le pétage de plomb de star quoi ! Le clou je crois que c'était son speech à un moment du concert du genre "je suis contente d'avoir pu vous faire découvrir le R'n'B [bande de sales pauvres communistes]"

 

C'est con, parce qu'autrement c'est vrai que c'est pas moche ce qu'elle chante.

 

 

Je sais que tout le monde s'en tappe, mais elle était présente dans un bar de Paris dans lequel je vidais des godets... et j'étais le seul con à ne pas savoir qui c'était

D'ailleurs je crois que RLV était là...

 

Sinon, en ce moment j'écoute ça:

 

 

Set Fire to Flame, magnigique ! Avec des gars de Godspeed You Black Emperor et Silver Mt Zion.... c'est transcendant !

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In 1993 the Wu-Tang Clan redefined hip-hop with their gritty debut Enter the Wu-Tang (36 Chambers). With the proliferation of a whole slew of questionable solo projects from group members Raekwon (Immobilarity) and RZA (Digital Bullet--huh?) to a recently slapped together Ol' Dirty Bastard greatest-hits compilation, everybody's fave rap group have been on autopilot. On Iron Flag, the rap assassins from Staten Island give you sharp reminders of what made them so brilliant. Knob twiddler extraordinaire RZA mishmashes obscure soul riffs and horn blasts on "Uzi (Pinky Ring)" and "Rules," upping the mixing-console ante. "Back in the Game" brilliantly utilizes the ubiquitous love croons of Ronald Isley over a sparse piano loop and scattered acoustic guitars, while Flavor Flav's guest rants on "Soul Power (Black Jungle)" take this one over the top. Sure there are a few toss-away tracks, like "Chrome Wheels," where the Clan lazily rip misogynist rhymes over an uninspiring Alexander O'Neal sample, but eclectic, low-bpm numbers like "Babies" more than make up for the crew's few shortcomings. Ol' Dirty Bastard, the only Wu banger who couldn't record on this album, is in some correctional facility smiling right now.

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I have all the totschlag releases to date. This cd is a genius compilation for any real speedcore fan this is a must, hard and fast as hell. I think totschlags production skills is amazing. This cd is pure distortion with some quality samples. I love it that much 2 copies just incase one breaks. Best cd i own cant wait for the next double cd.

 

 

 

This is the perfect CD to play all days if you hate your neighbours !

DJ Totschlag managed to create some tracks that probably no-one has managed to create before. Basically the music is noise tweaked in all extremities, terrifyingly distorted and often sampling screams as if the gates of hell have opened with a BPM varying from a "mere" 240 to 1100. Yes, you read well - one thousand one hundred!

It seems tha except for a couple of collaborations, the majority of the titles are probably written by the same DJ Totschlag guised under a lot of aliases. But one thing is sure - every tracks is great and has something different, and there is no track which annoys me.

Perfect if you don't want to sleep or to scare away your neighbourhood!

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On n'est pas loin de l'idée d'Ornette Coleman lorsqu'il enregistra en 1960 Free Jazz avec un double quartette. La réunion de Fantômas, side project de l'azimuté Mike Patton (chanteur de Faith No More) qui a croisé le fer avec les plus extrêmes bruitistes (Merzbow et Mr. Bungle par exemple), et des Melvins de Buzz Osborne, alias King Buzzo, était logique. C'est donc bien d'un big band dont il s'agit, plus précisément d'un double trio emmené par Mike Patton, servi par une section rythmique de folie : deux guitaristes (Buzzo, Dave Stone), deux bassistes (Kevin Rutamanis, Trevor Dunn) et deux cogneurs fous (Dave Lombardo, Dave Crover). Millenium Masterwork 2000 est en fait un live, purement expérimental, en forme de jam qui, plus qu'aux fans de Slayer, Melvins et Faith No More, s'adresse aux amateurs d'improvisations extrêmes, de hardcore déjanté, voire de japanoise. Certes brouillon, toujours bouillonnant, et cependant pas à négliger.

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On savait depuis Face Value en 1981 que pour Phil Collins il y avait une vie hors de Genesis. On savait aussi que ce perfectionniste dans l'âme passait des heures et des heures en studio à la recherche de la note désirée. Avec Serious Hits Live, paru en 1990, on avait désormais la confirmation qu'il était aussi un homme de scène. Accompagné par un orchestre de premier choix, Collins donne une nouvelle dimension à son répertoire, à ses ballades qui, de "Against All Odds (Take A Look At Me Now)" à "In The Air Tonight", en passant par "One More Night", ont été et sont encore fredonnées par le monde entier. Ce qui n'exclut en rien un intérêt tout particulier pour la soul sixties version Motown ("You Can't Hurry Love").

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