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Steve

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Tout ce qui a été posté par Steve

  1. Steve

    Deadpool (Tim Miller - 2015)

    La première partie (jusqu'à la fin de la séquence du périph) est super efficace et dynamique. Ensuite ça se gâte en revenant à des enjeux somme toute classiques pour un film Marvel. Même si le style d'humour est rafraîchissant, je ne suis pas sûr que je trouverai ça aussi drôle dans l'inévitable suite, à moins que Deadpool ne rejoigne l'autre bande, X-Men ou X-Force, auquel cas l'ajout d'un peu de décomplexion ne ferait pas de mal.
  2. Comme Lord, j'ai ete traumatise par certains aspects du bouquin quand j'étais jeune. Je me demande s'il n'y avait pas deja une adaptation d'ailleurs que je refusais de voir car imaginer l'épisode de la chaux me terrorisait d'avance. Bon donc la, d'une part Christophe Honore mais aussi Golshifteh Farahani, ca a l'air assez sérieux comme combo. J'attends de voir la bande annonce.
  3. Steve

    Mommy - Xavier Dolan - 2014

    Mon premier Dolan. Et j'ai été subjugué. Pourtant, beaucoup de trucs auraient pu m'horripiler : le sujet en lui-même, la longueur excessive du film, la soundtrack ultra-pop, sans parler de l'artifice de l'aspect ratio. Mais rien n'y a fait, j'ai trouvé ça franchement maîtrisé avec une direction d'acteurs magnifique.
  4. Sam, journaliste indépendant, profite de sa culture musulmane pour infiltrer les milieux intégristes de la banlieue parisienne. Il se rapproche d’un groupe de quatre jeunes qui ont reçu pour mission de créer une cellule djihadiste et semer le chaos au cœur de Paris. Pas mal decu. Je trouve que d'un cote ca manque un poil d'ambition, ca tourne un peu en rond assez vite. D'ordinaire, Boukhrief arrive a faire de tres belles choses assez dynamique avec peu de moyens, mais ca s'enchaine un peu bizarrement. Et puis toute la partie de l'intrigue avec les RG nourrit artificiellement le conflit du perso principal et fait un peu tomber le truc a plat d'entree de jeu. C'est pas sauve par un jeu d'acteurs souvent un peu limite. Evidemment l'actualite n'aide pas le film, car on excuse moins l'aspect film de genre voulu par Boukhrief. Restent les 30 premieres minutes que je trouve vraiment bien troussees, avec une B.O. signee ROB qui defonce, et quelques fulgurances par moment surtout lors des moments plus intimistes. fkqjUkma08g
  5. Filmé sur dix ans, ce thriller suit l'histoire de Steven Avery, citoyen américain qui a passé 18 ans en prison pour agression sexuelle (avant d'être innocenté par un test ADN), puis a été suspecté d'avoir commis le meurtre de Teresa Halbach deux ans après sa sortie de prison. DmnxlciH1UY C'est le documentaire buzz en ce moment, en fait une série documentaire, 10 episodes d'à peu près 60 minutes chacun. C'est super bien branlé, on accroche dès le début, et impossible de lâcher prise, si tant est qu'on soit amateur de fait divers teinté de conspiration. Car c'est un peu une affaire Omar Raddad puissance 10 cette affaire. Y'a une pelleté de trucs louches et de retournements de situation incroyables qui justifient le format en épisodes. Puis ce qui est génial en quelque sorte, c'est que tout est filmé et libre d'accès aux U.S., donc tout le procès, toutes les pièces à conviction, toutes les interviews des uns et des autres aux médias, même les interrogatoires en face à face au poste de police sont enregistrés et dévoilés ici. C'est juste un autre monde quoi. Evidemment le succès du docu aux US est tel qu'on a vite appris que les réalisateurs firent l'impasse sur quelques détails du procès qui pourraient gêner leur argumentaire, mais même sans ca, c'est un des plus effroyables constats sur l'état du systeme judiciaire americain. Pour ceux qui ont apprecié Paradise Lost par exemple, c'est fortement conseillé. Le premier episode est sur Youtube (ST francais dans les parametres) 34M2zdLc-2U
  6. Dans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Abandonné par ses équipiers, il est laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir. Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi. Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles, revenir chez lui et trouver la rédemption. Hé bé c'est pas encore ce film qui va me rabibocher avec Innaritu. C'est assez splendide a regarder, mais franchement assez creux. On comprend tres vite les tenants et aboutissants du film : le dernier tiers est assez penible de ce cote la, car sans surprise. De toute facon, on sent qu'Innaritu se regarde filmer dans son trip "allez tout le monde dans la boue par -10, c'est moi l'artiste ici" et c'est ce qui compte le plus pour lui. Tom Hardy a la classe, mais quant a DiCaprio, y'a de quoi etre decu. Okay les conditions de tournage etaient penibles, mais c'est plus a ca qu'on pense quand on le voit gemir et grelotter qu'une vraie souffrance mesuree par rapport a son perso. Trop de passages risibles font souffrir le film. Ah et puis ce dernier plan est A-BO-MI-NABLE. J'espere qu'il passera a la trappe dans un remontage si l'oscar echappe encore une fois a Leo. Allez un petit de rigueur GMjAQ_-M4uA
  7. Steve

    Point Break - Ericson Core, 2015

    La catastrophe C'est piètrement produit et ca n'a ni queue ni tete, c'est des spots Red Bull alignés les uns apres les autres autour d'un scénar indigent (on reconnait les grandes lignes du film de Bigelow, mais ca n'en a aucunement la meme philosophie) et surtout aux dialogues pompeux au possible. Au troisième degré, y'a quand meme de quoi se marrer, plein de details débiles qui sont amusants a noter parfois, et y'a 1 ou 2 scenes de cascade assez tendues, meme si c'est tellement mal filmé et monté qu'on n'oublie pas que c'est du cine un peu cheap.
  8. J'avais de grosses apprehensions, et en fait ca va, ca fait plutot bien le job. Malgre un gros coup de mou au milieu, le script est plutot sympa en fait. Si c'est un remake deguise de l'episode IV, c'est en tout cas beaucoup plus subtile que Jurassic World. Le casting est top entre les nouveaux persos plutot attachants (meme si celui qui fait Kylo Ren fait un peu pitie), les anciens qui ne font pas decoration, et des mecs en costume au lieu du tout CGI. D'ailleurs le design est chouette, ca met un petit peu a jour le look 80s de la premiere trilogie tout en conservant l'esprit. Un truc cool: Un truc pas cool:
  9. Steve

    TOP / FLOP 2015

    Une année 2015 franchement loin d'avoir tenu ses promesses. Des suites ratées en pagaille: pour quelques surprises (Mad Max, Furious 7, Magic Mike XXL, Star Wars VII), que de déceptions (Terminator, les Marvel, le truc honteux des Wachowskis, ...), pas de grosses découvertes en ce qui me concerne, c’était meme assez compliqué de compléter mon top 10. Cote films de genre, c'etait pas l'eclate non plus, j'ai pas été subjugué par Starry Eyes, Housebound, It Follows, The Final Girls, The Final Hours, Young Ones, What We Do In The Shadows,...). Reste que je vais faire attention a vos tops, car il me faudra rattraper par example Tomorrowland, Duke of Burgundy, Sicario, etc... Donc merci d'avance Zonebis. Top 10 Inside Out Beasts of No Nation The Look of Silence Mad Max: Fury Road Whiplash Queen Bande de filles Tangerine Honeymoon Creep Flop 10 Jurassic World Maze Runner: The Scorch Trials Love Ant-Man Terminator: Genisys Minions The Spongebob Movie: Sponge Out of Water Fifty Shades of Grey Jupiter Ascending Bang Bang Meilleur Acteur O'Shea Jackson Jr dans Straight Outta Compton ex-æquo avec Abraham Attah dans Beasts of No Nation Meilleure Actrice Alicia Vikander dans Ex-Machina Meilleur Réalisateur Jafar Panahi pour Taxi Téhéran Meilleur Scénario Ex-Machina ex-æquo avec Inside Out Meilleur Montage Tom Cross pour Whiplash Meilleure Photo Benoit Debie pour Lost River ex-æquo avec Adam Arkapaw pour MacBeth Meilleure Musique Junkie XL pour Mad Max: Fury Road Meilleur Documentaire Point And Shoot de Marshall Curry Meilleure expérience IMAX The Walk de Robert Zemeckis Meilleure expérience 4Dx Mad Max: Fury Road de George Miller Chouquette de l'année Karija Touré ex-aequo avec Rebecca Ferguson
  10. An outlaw who was raised by Native Americans discovers that he has five half-brothers; together the men go on a mission to find their wayward, deadbeat dad. Premier film du partenariat entre Netflix et Happy Madison, la boite de prod d'Adam Sandler et un joli 0 pointé sur rottentomatoes. Faut dire qu'il faut s'accrocher, c'est débile pendant 120 (!) minutes, y'a un âne qui a la diarrhée, puis qui mime une fellation à Taylor Lautner. Franchement embarrassant par moment. Le pire c'est que tout le monde semble au moins s'amuser, sauf Sandler lui-même qui navigue au travers de l'intrigue le plus sérieusement du monde Deux trucs à sauver : Terry Crews pour les fans, et une scène de poker avec Vanilla Ice en Mark Twain 5Xw4EAvx8o8
  11. Jack, 5 ans, vit seul avec sa mère, Ma. Elle lui apprend à jouer, à rire et à comprendre le monde qui l’entoure. Un monde qui commence et s’arrête aux murs de leur chambre, où ils sont retenus prisonniers, le seul endroit que Jack ait jamais connu. L’amour de Ma pour Jack la pousse à tout risquer pour offrir à son fils une chance de s’échapper et de découvrir l’extérieur, une aventure à laquelle il n’était pas préparé. Le film se tape une bonne réput de film à Oscars. L'affiche est grave moche, et la bande annonce annonce un truc indé un peu académique quand même. Mais le concept était intriguant et j'aime beaucoup Brie Larson donc je me suis laissé tenter. Alors c'est bien pathos comme il faut, j'ai bien eu la larme à l'oeil quand il fallait, mais malgré quelques scènettes intéressantes sociologiquement parlant, c'est filmé assez platement, la musique en fait des tonnes, et c'est pas une oeuvre qui restera dans les annales. A voir pour le duo principal on va dire. HGSa1EfRYJ4
  12. Quand Max voit sa famille peu exemplaire se disputer à l'approche de Noël, le garçon décide d'ignorer la célébration, sans se rendre compte que ce manquement à la tradition va provoquer les foudres de Krampus, un démon ancestral bien décidé à punir les réfractaires. La situation tourne en enfer quand les figures de Noël prennent monstrueusement vie, lançant l'assaut sur la maison de Max et forçant les membres de sa famille à s'entraider s'ils espèrent sauver leur peau. Nouveau film du réal de Trick'r'Treat (que je n'ai toujours pas vu, donc je ne pourrais pas comparer). En lieu et place d'Halloween, il s'attaque a un perso folklorique de Noel, version austro-hongroise du père Fouettard. C'est sous la bannière d'Universal cette fois, qui offre un film d'horreur disons familial, qui rappellera énormément Gremlins (du décor de Noel aux petits bruits des lutins maléfiques). C'est teinté d'humour bien sur (on retrouve l'impayable David Koechner, limite en retrait quand même, PG-13 oblige). Le tout se laisse voir, malgré quelques longueurs. Mais surtout le film a une belle patte visuelle, avec des vraies marionnettes comme creatures, un bestiaire qui renouvelle un peu le genre, des décors de presque huit-clos bien utilises). Le film d'Universal a fait un beau démarrage le weekend dernier aux US. Et c'est vrai que c'est un film a voir en cette saison, car Universal prévoit la sortie France debut mai 2016, autant dire WTF?! h6cVyoMH4QE
  13. On Christmas Eve, trans woman sex worker Sin-On Christmas Eve, trans woman sex worker Sin-Dee Rella, who has just finished a twenty-eight day prison sentence, meets her best friend Alexandra, also a trans sex worker, at Donut Time in Hollywood. Alexandra informs Sin-Dee that Sin-Dee's boyfriend and pimp Chester has been cheating on her with a white cisgender woman, Dinah. Outraged, Sin-Dee storms out of Donut Time to search the neighborhood for Chester and Dinah, the "fish" he has been sleeping with. As Sin-Dee searches for Chester and Dinah and Alexandra prepares for her stage show in West Hollywood, Razmik, an Armenian cab driver, drives clients around Los Angeles to raise money for the girls' company under the nose of his suspecting mother-in-law. C'est trop bien. Super punchy, avec un cast extra, un vrai sens de la mise en scene. Et le tout est super beau pour quelque chose filme entierement a l'iPhone 5S. Un de mes films chouchous de cette annee. ALSwWTb88ZU
  14. Pareil que les deux du dessus. Racheeeeeeel Par contre, on pense que ca va etre une serie a la Louie, mais c'est quand meme plus leger.
  15. Steve

    Steve Jobs - Danny Boyle (2015)

    C'tait pas mal j'ai trouve. Comme le Social Network de Fincher, c'est la proposition du script de Sorkin qui vaut le detour. A chaque fois une idee simple et rabachee sur 2h (ici l'idee que quelqu'un d'aussi determine perfectionniste et pretentieux que Jobs l'ait fait au depens de sa relation avec les personnes qui l'entourent), mais formee de dialogues les plus tranchants les uns que les autres; et le pretexte pour une troupe d'acteurs de montrer ce qu'ils ont dans le ventre. Toujours mieux qu'un biopic a la wikipedia. Fassbender et Jeff Daniels s'en sortent parfaitement bien. Boyle propose quelques envolees visuelles, mais reste surtout concentre sur sa direction d'acteurs. Par moment, ca fonctionne carrement (le gros fight entre Jobs et Sculley), d'autre fois, on a du plus de mal a avoir de l'empathie (le dernier tiers). J'etais content d'avoir vu le film avec Kutcher egalement, car le film de Boyle est tres leger cote mise en contexte, et j'aurai ete perdu sans savoir de quoi retournait l'histoire de A a Z.
  16. Steve

    Macbeth - Justin Kurzel (2015)

    Tu fais bien de le preciser, c'est vrai que c'est pas ultra facile d'acces et tres cannois en quelque sorte (je n'ai pas trouve le temps trop long perso - la b.o. aide a faire passer la pilule aussi je trouve, mais j'ai eu de la peine pour ma femme et mon fils qui m'accompagnaient). Comme dit plus haut, c'est pas Baz Lurhmann, les differents monologues en plan fixes poseurs, meme si je trouve que ca a le merite d'etre cinegenique en soit, c'est clairement auteurisante comme approche, et je n'irai pas jusqu'a conseiller le film a qui est allergique a Shakespeare.
  17. Steve

    Macbeth - Justin Kurzel (2015)

    Adaptation fidele et toutefois genereuse visuellement. En V.O. pure c'etait un peu peine perdue de tout capter même en connaissant la pièce. Heureusement, c'est suffisamment litteral dans sa mise-en-scene, et la majorite du casting est excellente. Impossible de ne pas egalement penser a la future adaptation d'Assassin's Creed qui devrait etre un sacre morceau vu qu'on y retrouvera outre le real et le duo principal de Macbeth, le directeur photo qui livre ici probablement un des films les plus beaux de l'annee.
  18. Pour Jurassic Park, ils ont dépensé sans compter.
  19. J'ai moyennement accroche. Certains plans sont plastiquement superbes quand d'autres sont la purement pour l'esbrouffe. Mais le gros probleme, c'est que ce Last Action Hero du slasher se trompe un peu de cible. Le detournement est pense pour la generation Z et l'image qu'ils ont des slashers de 70s/80s au travers de tous les autres detournements plus recents, mais ca n'aspire pas vraiment a plus d'intelligence que ca, a l'inverse d'un Detention ou meme un Cabin In The Woods. Et ca venait peut-etre de la copie presentee dans l'avion que j'ai pris, mais ca manque cruellement de gore et de nichons. A voir sur grand ecran quand meme j'imagine lors du PIFFF car certains plans sont juste
  20. Le Commandant Tommy Egan, pilote de chasse reconverti en pilote de drone, combat douze heures par jour les Talibans derrière sa télécommande, depuis sa base, à Las Vegas. De retour chez lui, il passe l’autre moitié de la journée à se quereller avec sa femme, Molly et ses enfants. Tommy remet cependant sa mission en question. Ne serait-il pas en train de générer davantage de terroristes qu’il n’en extermine ? L’histoire d’un soldat, une épopée lourde de conséquences. Encore un coup dans l'eau pour Niccol. C'est extremement laborieux. Ca part d'emblee avec la satisfaction d'avoir un sujet choc sans chercher a en extraire aucun potentiel d'histoire un minimum interessante. On a une galerie de persos plus cliches les uns que les autres, entre le perso d'Ethan Hawk qui dit tout fort ce que pense Niccol en ecrivant le script, sa femme qui ne supporte plus son mariage, le colonel droit dans ses bottes malgre les doutes qui l'habitent, les collegues America-Fuck-Yeah. Le message tourne en rond au bout de 20 minutes donc c'aurait largement pu etre un court-metrage, surtout au vu de la conclusion catastrophiquement niaise. JGGpSemB_hs
  21. Je verrai ca sur ma tablette tant les cadrages me font mal a la tete. Sérieux, je me souviens de la BA en IMAX et le nombre de gros plans ou les têtes des gens font 4 metres de large. J'ai toujours eu ce probleme avec les films d'Abrams que je revois a la hausse une fois chez moi sur la télé 40 pouces.
  22. Alors qu'il n'est encore qu'un jeune garçon, Agu devient un enfant soldat, embrigadé de force dans l'armée du sanguinaire "Commandant". Gros coup de coeur pour ce nouveau film distribué exclusivement sur Netflix, et qui pourrait se retrouver dans les tableaux d'honneur de fin d'année. Le point de vue d'un enfant soldat est particulièrement fort et poignant (tout contexte politique est mis à l'écart pour se concentrer sur la psychologie terrible exercée sur des êtres fragiles pour former ces milices sanguinaires), la mise en scène est impec', c'est hyper violent, mais ce sont Abraham Attah et Idris Elba qui portent véritablement le film sur leurs épaules. Leur portrait sont vraiment riches pour le coup, on est pas dans un truc porté par une analyse aussi manichéenne que ne le laisse penser la bande-annonce. p5N_3ki7cio
  23. Steve

    Wild - Jean-Marc Vallée (2015)

    Je me suis vachement fait chier. J'ai pas accroché a l'histoire de la meuf. Reese est pas mal dedans quand même mais bon je voulais voir du paysage et y'a pas grand chose qui soit à la hauteur des vidéos que j'avais vues du PCT. [vimeo]78531041[/vimeo]
  24. Tout juste licencié et menacé d'expulsion, un jeune papa endetté voit sa vie bouleversée quand il rencontre, dans un bar, un couple de gens aisés qui lui propose une solution à ses problèmes financiers... Mais à quel prix ? Bof. C'est amusant 5 minutes, mais pas toujours tres fin malheureusement. J'aime bien les huis clos un peu concept comme ca, et je suis un gros fan de David Koechner qui trouve un ici le role vraiment deviant qui manquait a sa filmo, mais le cote conte moral est vraiment too much, j'aurai aime un peu plus de variation sur la deuxieme partie. gPMKb2ubuDQ
  25. Steve

    In Bruges - Martin McDonagh (2008)

    Hé mais c'est une sacrée pépite ce film. Je l'avais pas encore vu malgré tout le bien que j'en ai entendu. Je ne m'attendais pas à ce beau mélange de comédie noire. Pas mal de trucs m'ont fait pensé au Poulpe de Nicloux
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