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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Nicolas

    Le fléau - Mick Garris - 1994

    La TV US 90's a pris un cruel coup dans la gueule, c'est quasi irregardable aujourd'hui. Toujours cette impression d'exhumer de vieilles betacam en 4/3. L'an dernier j'avais tenté de revoir Twin Peaks, et même constat... Bon déjà que cette mini serie, c'était pas bien glorieux à l'époque...
  2. Dans le genre grosse déception, ça se pose là. Un joli livre d'images "comme avant" (les CGI en plus) ou le charme des premières images et de l'univers laissent ensuite place aux bâillements répétés du spectateur, plongé dans une léthargie fatale au film. Tout y est tellement lisse et froid, à tous les niveaux, résultat, l'émotion convoquée dans la dernière partie n'émerge pas.. Jérémie a raison, dans le même genre mieux vaut mieux se reporter sur "the awakening" de la même période. De toutes façons un film dont le héros est un notaire, ça démarrait mal...
  3. Nicolas

    Twins - Lamberto Bava, 2018

    Vivement Catherine Deneuve chez Luigi Cozzi
  4. Nicolas

    Tusk - Kevin Smith, 2014

    Ahem... j'avais pas reconnu Johnny Depp de prime abord. Mais bon on s'en fout, il est vraiment trop lourd ce personnage. Film assez réussi malgré quelques longueurs, notamment les tunnels de dialogues entre Parks et Long. Bon après cette histoire m'a à la fois vraiment perturbé et fait sourire, ce qui n'est pas mal comme mélange. Ce mélange d'absurde, de cruauté est poussé dans les retranchements d'une forme de débilité jouissive avec un final à deux niveaux d'impact, vraiment pas mal. Après j'ai vraiment préféré "red state"...
  5. Oui, c'est sur c'est moins fastueux qu'à ses grandes heures mais par exemple je trouve le film plus réussi sur son mode humour noir que son ennuyeux et très sérieux "gothic", généralement mieux apprécié... oui parce qu'il apparaît quand même assez clairement que le film ne se prends pas au sérieux, non?
  6. Marrant comme souvenir de projection. J'ai un tout autre souvenir de conditions Je me souviens l'avoir vu dans une petite salle de province fermée aujourd'hui, salle bondée, remplie d'adolescentes en fleur aspergées d'eau jeune et de biactol... Ça empestait le patchoulis et moi au milieu qui commencait à me demander ce que je faisais la... Pour le film, j'en ai un souvenir pas mauvais, belle lumière, beau score, climat malsain... en revanche, je n'ai jamais été très amateur de ce triste Tom Cruise, et la ça ne fait pas exception, lui qui en fait d'ordinaire 3 caisses là il en fait 12..jamais pu m'habituer à sa perruque blonde en plus, il me gache un peu le souvenir...
  7. Ça démarre très fort, dans un humour très Chabat et on se dit que ça tiendra jamais la distance. Ça dure quand même deux heures...et effectivement le film s'enfonce dans les marécages de sa situation. Jusqu'à se reprendre vers la fin et l'assaut final dans le village... le plan du gamin qui fait un vol plané m'a tué... Les films de Ben Stiller ont souvent de bonnes idées mais les films sont ratés. Un bon exemple encore.
  8. EsV7TuNMr5M Un thème qui donne envie d'envahir l'Autriche
  9. J'aime beaucoup la réponse de Natale... une image vaut bien 1000 mots Pour le film, un trip jubilatoire, un beau gros foutoir. Amanda Donohoe fait des merveilles. Je ne comprends pas vraiment le défonçage quasi unanime du film. Beaucoup de plaisir à le revoir...
  10. Un film culte de ses couilles?
  11. Oui, même Catherine Breillat adore, c'est dire qu'il n'y a plus trop rien à dire.
  12. Le click bait, it works! A froid, comme ça j'ai du mal à catégoriser les musiques d'un genre précis et comme dit Cyril, il faudrait des heures pour passer en revue ces choses....alors je vais me lancer dans une toute petite sélection perso... 4 mouches de velours gris : parce que Morricone chez Darío, c'est très bien et que le thème principal diffuse sa part de belle étrangeté.... Paperhouse : parce que ce score de Zimmer première période est à l'image du film, chaleureux et émouvant dans un ensemble froid... Pour ce qui est de Jerry Goldsmith, là encore c'est du gros morceau et le choix en abondance entre les envolées pastorales sublimes de "Omen final conflict", les ritournelles bizarres et percussives de " Link", la musique intériorisante de "Magic", John Williams pour le "Dracula" de John Badham.... pour ne citer que les mastodontes.... Moins consensuel, le "firestarter" de Tangerine Dream, beaucoup déteste, moi j'adore cette compo...
  13. Nicolas

    Knock Knock - Eli Roth (2015)

    Bien vu le coup du thriller domestique 90's, c'est ça ! L'impression que tout le film est construit sur son final, la grosse idée du genre cauchemar ultime à l'ère des réseaux sociaux. Les deux pouffiasses sont aberrantes mais la situation parait fort probable finalement... et comme j'adhère à ce final, qui m'a fait hurler de rire, pas désagréable comme film
  14. Ah mais j'ai pas dit que tu les avais imaginé... simplement on pourrait croire que ça concerne l'ensemble du film qui ne serait fait que de ça, or ce n'est pas le cas. J'ai pas été dérangé par ces moments qui sont des conventions admises du genre, quand même globalement... ça reste somme tout de même assez accessoire ici...
  15. Moi c'est le contraire, j'etais un peu méfiant... Et pourtant... dès le premier plan (ce gamin qui court, issu d'une imagerie familière) j'ai su que j'allais aimer. Il te plaque une ambiance en deux plans trois mouvements et ballade le spectateur avec bcp d'aisance. Au final, ca m'a vraiment chamboulé. Un vrai ride émotionnel complet, et une proposition de "film autre". Comparer ça à un blumhouse plombé aux jumpscares, faut être un tout petit peu de mauvaise foi tout de même... si je peux me permettre C'est difficile de parler du film sans le trahir, en attendant pour moi c'est clairement le meilleur film de Pascal Laugier.
  16. Pas sans rappeler, et pour cause, c'est quasiment la même... J'aime beaucoup ce tout dernier film de McQueen, très attachant, assez violent et jonché de pointes d'humour noir et de séquences d'action bien efficaces... même la relation avec sa femme a quelque chose qui fonctionne bien... et bordel ce bar à poivrots qu'il a dans son salon chez lui et qu'il retrouve lessivé après une journée de boulot apporte une vraie touche de singularité à l'ensemble...
  17. Nicolas

    Harry Brown - Daniel Barber (2009)

    Ce film est déprimant, on est davantage dans le polar très noir que le défouloir vigilantesque... Un rythme lancinant, une atmosphère pesante dans cette cité sale sans horizons, ou les toxicos taillent des pipes à la sauvette pour se payer leur came, ou les dealers se paluchent sous cracks devant leurs exploits sexuels, la présence de Michael Caine dans cet univers miserabiliste fait tâche, quelques scories.... l'inévitable enquête policière paralléle pas vraiment captivante avec la petite flic novice qui découvre la vie et sa hiérarchie... les gerbes de sang numériques... Du classique à base d'infâmes racailles purgés façon vieux flegme anglais.
  18. Liberace n'était pas homosexuel, simple rumeur
  19. J'ai du le voir y a deux jours dans "ma vie avec Liberace" dans un rôle totalement insignifiant, ce qui est quand même vu le film une vraie performance vu la galerie de persos offerte...
  20. Et ça donne quoi les acteurs qui sont pas acteurs? Doillonesque?
  21. Nicolas

    Gaston Lagaffe - PEF 2018

    J'espère que LCJ en profitera pour ressortir en blu-ray ultimate "fais gaffe à Lagaffe" à l'instar du "Faucon"....
  22. Oui, je l'ai vu! C'est clairement pas une grosse livraison et pas du grand Spielberg même si c'est émaillé ça et la de sa signature... cette façon de filmer les rotatives et tous les inserts de fetichisations de l'écriture excitent un peu le récit. C'est vraiment très bien emballé, la reconstitution est solide mais je ne me suis pas du tout passionné pour l'intrigue qui est entendue depuis le début. Par définition, on sait déjà tout ce qui va se passer. On assiste donc à un déroulé assez plat avec Meryl Streep en boubou de luxe pendant une bonne partie du film et Hanks ventripotent qui fait du Hanks, du féminisme de bon aloi et la conclusion qui fait bien sur la liberté de la presse blablabla, et mon cul sur la commode blablabla Après perso, je n'aime pas Streep que j'ai toujours trouvé surcotée comme actrice, là ça passe plutôt mais bon mais rien de fou dans sa compo, enfin si elle veut un oscar qu'il lui file. Anecdotique, et même franchement faiblard, genre TV film HBO moyen+.
  23. Ah mais complètement, tu as sans doute été distrait
  24. Tu as réussi à placer "rashomon" en parlant de ce film (que j'ai vu y a longtemps et que j'ai quasiment oublié, sauf Paul Reiser, je sais pas pourquoi) et rien que pour ça, tu as tout mon respect.
  25. Nicolas

    Hantise - Jan de Bont - 1999

    Mais puisque je vous dis que je suis la!
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