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The Mask - Chuck Russell (1994)


Benj

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Stanley Ipkiss, modeste employé de banque, passionné par l'univers de Tex Avery, trouve un masque ancien aux pouvoirs surnaturels. Il est néanmoins partagé entre devenir cette créature verte sûre d'elle ou rester le timide Stanley Ipkiss, incapable d'aborder la magnifique chanteuse de cabaret Tina Carlyle.

Revu hier et c'est toujours la pesance, perso je trouve que les sfx n'ont pas vieillis et comme ils ont l'avantage d'etre axés cartoon le coté plastique ne me dérange pas du tout, j'avais un peu peur au niveau de l'humour mais je trouve toujours ça marrant, Jim Carrey y est pour beaucoup.

J'ai même la bd avec l'intro avec les vikings

Et puis c'était l'adolescence, Cameron Diaz, tout ça. 

ET MILO EST SANS DOUTE LE BEST DOG EVER!

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Gourbenj a dit :

Et puis c'était l'adolescence, Cameron Diaz, tout ça.

 

 

Ah oui, c'était l'adolescence aussi pour moi, mais j'avais surtout eu un coup de coeur pour le toutou.

J'avais vraiment pas trouvé ça terrible, à l'époque. Alors que j'adore Jim Carrey! ("Ace en Ventura en Afrique", vu deux fois en salle)

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Film pas désagréable mais en deça des attentes suscitées (je me souviens que le buzz était pas mal du tout sur ce film). Reste un Jim Carey Show tout à fait convenable et iune Cameron Diaz en Jessica Rabbit qui, je vois, aura marqué quelques adolescences. (oui oui la mienne aussi).

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J'avais bien aimé à l'epoque de la sortie mais bon, en fait une fois passé le coté technique bluffant, c t pas non plus le film du siècle. Je l'ai revu qques années après, sans aller jusqu' à dire que ce fut penible, je dirais que ça m'a pas donné franchement envie de retenter l'experience de suite...

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Comme tous les trucs vaguement inspirés/pompés sur Tex Avery, j'ai pas trouvé ça drôle. Et j'ai jamais pu supporter Diaz, que ça soit en tant qu'actrice ou que nana, donc ça n'aide pas. Carrey c'est Dieu par contre mais j'ai pas grand souvenir de sa performance sorti des trucs à SFX comme dit DPG ...

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Premier film vu au ciné ! Bien aimé à l'époque... par contre j'étais un peu jeune pour me palucher sur la Diaz.

Sinon j'ai du le revoir deux ou trois fois par la suite... Mais plus beaucoup de souvenirs du truc en fait !

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  • 3 years later...

Souvenirs, souvenirs …

 

Attention, c’est parti pour la rubrique ma life, mais pour ce film c’est un passage obligé

 

Fin 1994, probablement pendant les vacances de la Toussaint.

 

J’ai treize piges et, à ce moment de ma vie, je suis très peu allé au cinéma (une dizaine de fois tout au plus).

 

Ma tante décide de nous emmener au ciné, mon frère et moi. Trop cool

 

C’est parti pour The Mask, au cinéma Le Dragon sur le vieux port de La Rochelle.

 

Au-delà de l’aspect grisant intrinsèque à l’expérience cinématographique, j’adore le film

 

Et puis, je goûte au phénomène du moment (on allait bouffer du The Mask à toutes les sauces) et Cameron Diaz (premier rôle, 21 ans !) me donne quelques émois adolescents

 

Après cette séance mémorable, j’ai du revoir le film un ou deux fois en VHS.

 

Depuis, et ça fait facile une bonne dizaine d’années, aucun visionnage.

 

Du coup, il y a quelques temps, lorsque je m’apprête à lancer le DVD, je suis un brin anxieux.

 

Faut dire que ça me fait toujours peur de démolir un bon souvenir d’enfance (raison pour laquelle je tarde à revoir Condorman ou Roger Rabbit et que je me refuse catégoriquement de jeter un œil à L’histoire sans fin).

 

Bref, quelques 90 minutes plus tard, j’ai trouvé ça très inférieur à mon souvenir

 

The Mask est juste moyen

 

Le truc qui m’a frappé de prime abord, c’est que c’est visuellement assez moche.

 

La mise en scène est super plate (tout le contraire de ce qu’il aurait fallu), la photographie affreuse.

 

Et puis certains effets spéciaux (les images de synthèse comme on disait alors), pourtant à la pointe de la technologie à l’époque (le métrage est un prétendant à l’Oscar des meilleurs effets visuels en 1995), ont parfois mal vieilli (le Mask qui s’écrase comme une crêpe).

 

Après, le film reste quand même plutôt plaisant avec de l’énergie à revendre, un Jim Carrey show souvent fun (sa fausse mort dans les bras du bad guy, ses regards caméra complices, etc.) et un clébard super attachant.

 

Sinon, pour une comédie volontiers grand public, j’ai trouvé ça limite trash aux entournures : le Mask enfonce des pots d’échappement dans les culs de deux garagistes roublards et sort une capote pleine lorsqu’il fait des sculptures avec des ballons !

 

A l’arrivée, le film n’est pas mauvais, il n’est juste pas à la hauteur de son concept.

 

Avec le recul, c’était un projet parfait pour Joe Dante

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je ne l'avais pas vu à sa sortie, la campagne de communication m'ayant passablement cassé les pieds, mais quelques années plus tard, sans doute déjà trop vieux, à vous lire.

honnêtement j'avais trouvé ça pénible. le film met tellement l'accent sur ses supers effets spéciaux à la pointe du fer de lance du dernier cri de l'époque qu'il oublie un peu tout le reste. on a donc une histoire prévisible et sans grand intérêt, des personnages superficiels et même ces supers effets ne servent au final qu'à reproduire le travail de tex avery, même pas foutu d'être original sur son atout. finalement roger rabbit exploitait déjà cette idée mais de façon mille fois plus intéressante et talentueuse.

 

bon et puis jim carrey, il aura beau gesticuler tant qu'il voudra, moi il ne me transmet absolument rien.

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