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Guillaume Tell

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Tell

  1. Intéressé à voir comment Johnny Knoxville joue quand il ne fait pas que le crétin et ce qui se cache sous l'air décidé de The Rock, j'ai jeté un coup d'oeil attentif à ce Walking Tall pour la majeur partie explosif. Annoncé à 86 min, le DVD ne dure que 73 min générique compris . Tout ce qui semble entraver l'action dès le réveil du géant noir a visiblement été mis de côté. Ce remake démarre comme Rambo (ou est-ce le contraire), un peu plus calmement et sans sortir de la ville. Grosses bagarres de salon, représailles, mise au pas, fusillades soutenues: ça bouge, y a pas de doute. Bonne surprise, même si le film reste très simple car il se résume à quelques scènes clès pas vraiment bien enchaînées (les coupes n'améliorent rien). Mais ne boudons pas notre plaisir.
  2. Oh El Demonio! El Demonio! Y a pas de doute, nous sommes bien aux Philipinnes et malgré ce village primitifs aux airs de Bronzés, la religion chrétienne - et tous ses dérapages si chers au cinéma - prévaut. Honnêtement, une petite demi-heure de moins aurait été salutaire. Le film démarre vraiment après une heure vingt environ et les enfants, en arrière-plan avant sans que l'on sache vraiment pourquoi (ok, ils souffrent ou s'interrogent de voir des adultes perdus, mais est-ce une particularité?), sont enfin exploités. Ils donnent un ton particulier au récit. Intéressant. Tout comme ce dernier tiers bien enlevé. La langue philipinne (en tout cas ce dialecte parmi les je ne sais plus combien officiellement reconnus) est très agaçante et ne sied pas vraiment au genre cinématographique, bon ben ça n'engage que moi, mais ça peut expliquer quelques frustrations dans des scènes bavardes ou explicatives ( à juste titre ou non) Finalement, bien content d'avoir vu tout ça, y a pas de doute.
  3. bon ben c'est pas bien méchant. Pas drôle, mais pas insupportable du tout.
  4. Juste le (bon) souvenir d'une ambiance fantastique réussie.
  5. Je partage la même sentiment, Dog Days bien plus passionnant (Sans parler de l'excellent Animal Love). Moins entendu que cet Import Export qui donne tout de même l'impression de recycler les images TV de reportages et ne brille pas par son originalité ( la mère infirmière, le bébé malade). Qui plus est, et même si l'idée de fond l'oblige, le tout est un peu long.
  6. Un peu déçu tout de même, malgré un premier tiers captivant. A mon goût, Aronosky s'écarte trop longtemps du monde du catch pour en faire réellement un film fort et il me semble que la plongée aux enfers des préparations, médications, entraînements, arrangements aurait pu être bien plus puissante. Tout ça pour dire, que même si Rourke reste relativement touchant par moment, ses amourettes et son retour vers sa fille sont montrées de façon trop appuyées. Dommage, les films de boxe se font rares, cela aurait été l'occasion de réanimer le genre au travers du catch.
  7. L'accroche du film "Posséder le marché du sexe pour disposer du pouvoir" fait plutôt penser à un récit d'anticipation. C'est sans savoir que la bonne Shu Lea lorgne autant vers l'art contemporain que vers le cinéma. Si le film amorce bien la thématique proposée, il quitte bien rapidement un début de parodie de Blade Runner pour s'atteler à toute une série d'expérimentations visuelles ou comme le dit la réalisatrice "d'habillage d'images". Le tout, tourné avec un minimum de moyen, ne manquera pas de surprendre les habitués de l'érotisme nippon. La bande son de "The Saboten", disons techno à tendance qui arrache et qui fait dans le monde du futur, emmène la danse et les aventures de Reiko avec énergie. Pour en savoir un peu plus ce "arty-product" http://www.k-films.fr/fff/icu8fr.html Dispo chez k-film
  8. Guillaume Tell

    Etrange Festival Lyon 2009

    C'est pas vrai, à chaque fois quand je suis pas là. Bon ben dommage pour moi, aurait bien voulu passer.
  9. Trouvé très intéressant. Bien que le décor soit du tout cuit - immeuble à niveaux et galeries, plages mélancoliques, banlieues maussades -, les interprètes leur donnent un relief appréciable par une bonne galerie de petites gens comme on les attend dans le telles fresques de l'Italie pourrie jusqu'à l'os.
  10. Un de plus: vraiment très bien, même si, comme allociné et l'extrait de critique des Inrock, le petit bonhomme peut parfois faire penser à une marionnette des Guignols. Toutefois, cela n'enlève rien au film.
  11. Pour ma part, grosse déception. Kérozène a pris le temps d'écrire ce que j'ai également ressenti à peu de chose près.
  12. Guillaume Tell

    LUFF 2008

    Je vais peut-être passer
  13. Guillaume Tell

    Gerardmer 2009

    A priori, plutôt oui pour le pélerinage des Vosges
  14. Guillaume Tell

    NIFFF 2008

    Suis rentré bien déçu de ces trois jours de festival, d'autant plus déçu que je me faisais ici même le porte-paroles d'un festival à la programmation moins terre-à-terre que d'autres festivals fantastiques qui roulent sur leur unique réputation. Manque de pot, il faut bien constater que cette année, le NIFFF s'est permis quelques projections d'une rare vacuité. Même la rétrospective Profondo Giallo n'a pas échappé à cette malédiction, il fallait viser juste pour tomber sur les perles. Ajouter à cela qu'aucun film ne sort véritablement du lot, comme ce fut le cas les années passées avec Bothersome Man ou Johanna et vous comprendrez l'amertume à revenir les bras ballants d'un endroit si riche en surprises les années précédentes. Ceci dit, je ne pense pas que cela m'empêchera de revenir, toujours en quête du graal. Espérons que nos invités tricolores auront tout de même apprécié le déplacement.
  15. Si on tombe dessus où? Existe en VHS ou DVD ?
  16. Comment ne pas être fan? Pauvre Russ, décédé quasiment sans hommage il y a juste pas 4 ans
  17. Attention, un des critiques est un fan aveuglé de Sharon, mais le pauvre Jean Tulard n'est pour rien là dedans si ce n'est que ce critique pompeux fait partie de son guide PS: il me semble d'ailleurs que les critiques sous acides de ce Monsieur (voir les Quatermain), dont le nom m'échappe , ont été rectifiée dans les éditions suivantes
  18. Quelle claque ce film! Le sous-titre de l'affiche ci-dessus donne une bonne idée de ce qu'il faut apporter comme importance à un déchiffrage rationnel de l'oeuvre. Si je me souviens bien, William était intervenu pour souligner tout le bien qu'il pensait de l'adaptation à l'époque bien présenté dans son grand manteau de cuir noir.
  19. Ed Gein est aussi morne que Deranged est intéressant
  20. Vu lors de sa sortie en salle. Ne sais pas pourquoi, mais j'étais resté bloqué sur les empreints - plagia - à Jour de fête et le film m'avait énervé. Il faut dire que la face de lune d'Hermann ne me convainquait pas beaucoup non plus. En bref, un assez mauvais souvenir.
  21. Oups , n'avais pas vu la présence du film dans les sujets du forum
  22. Une fois de plus: excellent Solondz (Bien que les souvenirs précis commencent à se brouiller une douzaine d'années après sa vision)
  23. Guillaume Tell

    NIFFF 2008

    Dusse, c'était bien Jean-Claude, pas Cyril ?
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