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Guillaume Tell

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Tell

  1. C'est en regardant des oeuvres comme celles-ci, enfant finissant, que l'on se dit qu'il y a un monde hors du néant émotionnel de l'oncle Walt, en tout ças pour ce Pinocchio et ses deux versions. Souvenirs de mélancolie, de solitude, de questionnement très marqué. Un des moments TV qui m'a laissé la plus forte impression, un style si différent de tout ce que l'on pouvait voir. Comment es-tu "retombé" sur ce si beau film? Un habitué de la version 2h10?
  2. Ben moi, j'en suis resté également à la bande annonce qui m'excite pas plus que ça. Visiblement, il faut, unanimement accepté, passer outre.
  3. Guillaume Tell

    TOP / FLOP 2011

    Après un rapide contrôle: La baffe Melancholia Drive Black Swan Très bien et bon moment ciné Fast and Furious 5 Poupoupidou La proie Une pure affaire Mon pire cauchemard A bout portant (juste 2011 ici) Souffrance La solitude des nombres premiers Thor
  4. Je plussoie. Drôle, court, very good acting. Beaucoup de plaisir à revoir Christoph Walz. Deux passages vraiment tordants. Le tout finalement bien cynique. Une bonne torpille de Noël.
  5. Exact. Elle la seule question est: Arielle en fait-elle partie? Le reste n'est que futilité.
  6. C'est vrai, pour rejoindre certains, que c'est vraiment pas terrible. Attente et déception. Lanvin cadre assez mal. Les nombreux flash back, dont un qu'on voit sans surprise car il fait déjà partie du générique, donne à ce film un impressionnant sentiment de gros bazar dont j'avais peine à trouver un intérêt. Cela oscille entre la retraite du parrain calmé, la naissance d'une bande, les jeux d'amitié, un retour "instructif / historique" sur certains casses qui ont marqué les esprits. Restent quelques scènes "très polar", de violence imprévue selon les réactions caractérielles des héros, très appréciables, mais un peu perdue au milieu de ce récit décousu et sans noyau fort. Un moment fort de café: la scène "Moi on me baise pas" d'Etienne Chicot où il est difficile de retenir un sourire moqueur. Et pis pas sympa, pour tous les Zonebissiens, de donner ce titre Les Lyonnais, au plus fade des opus Marchal. Pas cool .
  7. Guillaume Tell

    Gérardmer 2012

    oulala! Attention glaces Thiriet ! Elle m'ont manqué l'année passée . A la poubelle l'ouverture au monde parallèle par le jeûn et l'absorption unique de crème glacée en bâton.
  8. Guillaume Tell

    Gérardmer 2012

    ben ma pomme, mais tu le sais déjà
  9. Peut-être faudrait-il faire deux sujets séparés: un pour ceux qui ont un chat ou aimerais en avoir un et qui vont très certainement adorer et un autre pour les autres allergiques qui vont eux trouver cela un peu longuet. Ceci dit, les bandes annonces donnent très envie.
  10. Désolé, je viens d'y penser. Oups
  11. Vu dans Libération récemment. A drama focused on five months in the life of pedophile who keeps a 10-year-old boy locked in his basement. 7.5/10 sur IMDB Kikavu?
  12. Voilà exactement ce que je dirais du film. La surprise continuel des outrances à venir est un pour moi un aimant efficace. Pas décollé un instant.
  13. Ai-je bien cherché: pas de sujet sur ce bien mauvais film. Personne n'y croit, Dussolier en tête, complètement à côté de la plaque. Quelques dialogues qui tentent l'hommage, mais sous-sous Audiard demeurent. L'ensemble qui ne tient pas debout introduit par une course poursuite au milieu de nulle part. Cela laisse pantois. La fin dans nos belles montagnes et les frais d'hélico également. Un plan nichon, c'est peu. Cassel qui fait du taï-chi, c'est beaucoup et à voir. J'en passe et des meilleures. Bon, cela se passe à Lausanne et pour une fois qu'on peut voir sa ville dans un film qui passe dans un vrai cinéma avec des vraies vedettes, on boit la soupe dans laquelle on vient de cracher. (sic)
  14. Mais c'est très bien ça ! Ton texte, un peu défaitiste, donne finalement plutôt envie de voir le truc .
  15. Stop flagellation. Arrête de dire que tout le monde va détester (Même si c'est vrai ). Disons plutôt que certains n'auront pas la chance de suivre ce bon Monsieur dans son monde (où qui se la pète un peu quand même). Ceci dit, BO en tête, cela m'a beaucoup plu malgré les quelques longueurs évoquées.
  16. Mais qu'est- ce qui m'a pris de louer ce film Comme c'est long et plan-plan . Triple bof.
  17. Très bon compte-rendu! Merci pour nous et la photo du Comité, notre trop modeste président devant sa troupe! à+ dans le magma lausannois
  18. Very positivement impressionné. Même si le parcours de Joshua est un tantinet prévisible, il crève véritablement l'écran et donne à lui seul l'intérêt du film. La bande de malades, sans panache bien entendu, qui l'entourent finissent le tableau. Plus qu'un film noir, en tout cas annoncé comme tel, un drame psychologique bien ficelé sur la différence pas nunuche pour un sou. En d'autres termes: comment réchapper à sa famille? La réponse brûle les lèvres et trace la destinée de l'excellent James Frecheville. Voilà pour l'Australie hors kangourous: très bon film.
  19. Y suis allé pour passer le temps, à défaut d'autre chose. Et ce fut vraiment pénible. Triple bof! Le "repère / citadelle" en forme d'orgue géante restera peut-être l'unique souvenir avec le marteau tout collé dans son caillou terrestre. Bon, suis mauvais juge, aime pas trop les Comics d'une manière générale.
  20. Je dois ici remercier le Festival de Gerardmer de m'avoir fait accéder à cette chose insupportable sur grand écran, le sort sur DVD n'aurait pas dépassé les dix minutes.
  21. Le Père Noël est une ordure a été projeté à Lausanne le 23 décembre comme film de Noël de la Cinémathèque suisse dans une salle rachetée par la ville. Devant - l'entrée était gratuite sur simple inscription par email mais tout de même - 867 spectateurs, soit la salle pleine qui se trouve être la plus grande salle en activité de Suisse. Salle qui date de 1929, rénovée dans les années cinquante. C'est grâce à une copie de la Cinémathèque française, qui eux savent conserver les chefs-d'oeuvre, que nous avons pu assister à cette tordante projection un peu rosée et donc invraisemblablement empreint de l'ambiance d'époque. Je fais partie des fans, il va sans dire.
  22. Guillaume Tell

    Gerardmer 2011

    Très bonne édition que ce 2011 dans la neige et le froid vif. Plaisir de revoir tout le monde à l'appart, au San Remo ou au Grand Hotel headquarters hors salle. Manquait notre Duracel et c'est vrai que c'était plus calme. Pour les films, qu'ajouter à ce qu'a très bien dit Jérémie? Rien. Très bon compte-rendu.
  23. Guillaume Tell

    Gerardmer 2011

    Jour J-1, à nous les Vosges et cette ambiance inénarrable.
  24. Guillaume Tell

    Lovecraft

    Oui, connaissais très mal Lovecraft, mais lit tout que ce pond Houellebecq, du coup je l'ai lu. Cela se lit très rapidement, le portrait est très touchant, les aspects littéraires donnés en exemple digestes et de l'aveu de Michel (mais on le devine assez vite et seul par la brièveté des passages) c'est une biographie "rapide" comparée d'autres ouvrages plus conséquents.
  25. Comme tout cela a l'air intéressant. Suis impatient de voir si ce magazine, dont je n'avais jamais entendu parler, peut concurrencer la transe dépressive induite par la lecture de l'excellent Detective référence en la matière. Je suis déjà prêt à alterner ma médication par un C'est dit pour deux Détective.
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