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Guillaume Tell

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Tell

  1. début de discussion récemment sur la sortie du DVD viewtopic.php?f=10&t=11662&p=119929&hilit=les+diables+ken+russel#p119929
  2. Guillaume Tell

    Dying God

    it's not human mais avec des préoccupations bien humaines semble-t-il
  3. Clair que ce film est une bombe, Philip Seymour Hoffman, bien huileux est au top. Tod Solondz PS: à voir également, le premier film de Solonz WELCOME TO THE DOLLHOUSE, passé comme bien des films plus ou moins inaperçu à sa sortie et tout aussi bon que les trois suivants
  4. Passage, au gré de rencontres très terre à terre, dans un monde parallèle peuplé de monstre aux pensées obscures que vient éclairer la quête de l'héroïne. C'est clair que le film, et ses multiples actrices qui incarnent un seul et unique personnage, ainsi que la référence au conte (ou au fantastique quoi que) peuvent laisser perplexe. Pour ma part, toujours séduit par Tod Solondz qui se démarque des productions qui l'environnent et traite les thèmes qui lui sont chers.
  5. Très bon Tod Solondz, déroutant, acide et qui sait mettre mal à l'aise J'aime particulièrement le très sale gosse de la troisième histoire et son rapport affreusement lucide et dur à la bonne de ses parents.
  6. Guillaume Tell

    NIFFF 2008

    Bizarre le thriller dans un festival fantastique , même si je me réjouis de voir celui de Dallamano
  7. Je confirme, un de mes plus grands chocs cinéma. Mais il est vrai qu'à 16 ans, après les Gendarmes et quelques cinémas de minuit, c'est le genre de film qui marque. Revu, il n'y a pas longtemps. Toujours impressionné par Isabelle (qui en fait presque trop dans le métro, je préfère la scène du couteau à viande), mais un peu surpris par ces mouvements de caméras alambiqués. Tout de même revu en entier et avec grand plaisir.
  8. Albert Hofmann est entré dans l'histoire en faisant lui-même par hasard l'expérience du LSD, le 16 avril 1943. Le chimiste suisse Albert Hofmann, qui a découvert par accident la drogue hallucinogène LSD en 1943, est décédé près de Bâle, en Suisse, à l'âge de 102 ans. Le chercheur s'est éteint mardi chez lui à Burg, a rapporté une fonctionnaire municipale à l'agence de presse suisse ATS. Albert Hofmann, né en 1906 à Baden, est entré dans l'histoire en faisant lui-même par hasard l'expérience du LSD, le 16 avril 1943. Alors qu'il étudiait les alcaloïdes de l'ergot du seigle afin de créer un stimulant circulatoire et respiratoire, le diéthylamide de l'acide lysergique (LSD), il en a fait tomber par inadvertance une goutte sur la main. Il est alors troublé par d'étonnantes sensations: angoisse, vertiges, visions surnaturelles, objets se mouvant dans l'espace, sentiment de bonheur et de plénitude. Il rentre alors chez lui à bicyclette pour son premier «voyage», retrouvant des sensations de l'enfance et se sentant capable de voler. Référence faite au moins une fois par semaine lors de critique des films un tant soit peu à côté de la norme, le LSD fait recette pour parler de créations dégeantées. Petit mot en souvenir de celui qui a ouvert bien des esprits aux mondes parallèles. Circulait à vélo et vécut 102 ans. Made in Switzerland.
  9. j'allais le dire Evincé du beau pays romand, il se lance dans la concurrence déloyale interfestival
  10. wouah, la précision du souvenir, tout ça se mélange tellement dans ma petite tête. T'as gardé le bulletin de la Cinémathèque? Croisé sûrement, j'en ai vu plus d'un dans la série
  11. Conquis par d'autres "films de poupées", je m'étais lancé pour voir (sais plus quand) et n'avais pas vraiment apprécié, même plus, m'étais ennuyé.
  12. Oulala, la méchante avec la frange, elle participe méchamment à l'impatience grandissante
  13. C'est juste Auguste. Film gay par excellence, subtil et très intéressant, qui déjoue ce qu'on croyait voir du petit Joshua dans le genre malédiction. Les femmes par définition sont stupides et par elles arrivent le mal et le déséquilibre. Argh!
  14. et si t'avais vu ça sur grand écran. Les scènes de nuit particulièrement valent le détour comme tu as pu t'en rendre compte
  15. Qui pompe Frazetta sans vergogne. Je dis ça bien soulagé de ne pas devoir attaquer la diffusion d'images (même pas de scan pour faire profiter des jaquettes) Mais bon pas grave, c'est toujours pour la bonne cause.
  16. Je me disais bien que le nom d'Anthony Balch me disait quelque chose, il a relancé la carrière de Mocky après l'échec de SNOBS. Je cite le livre de Mocky CETTE FOIS JE FLINCUE: ... Je reste un an sans travailler. Le salut vient d'outre-Manche. Le film est acheté par Anthony Balch, un esthète fou à qui les Anglais doivent aussi la sortie de FREAKS de Tod Browning interdit en Angleterre jusqu'en 1962, et qui réalisera en 1973 un curieux film fantastique HORROR HOSPITAL (LA GRIFFE DE FRANKENSTEIN). Il me téléphone: "Je veux sortir le film à Londres " (ndlr SNOBS). Je lui vends 10000 livres sterling. Le film passe dans un petit cinéma. le Paris-Pullmann, dans un quartier snob de Londres. Il m'invite à venir le présenter. Le film fait un tabac. Le personnage de Balch, si l'on réfère à ce qu'il a fait pour la diffusion d'oeuvres cinématographiques, a droit à toute l'indulgence possible pour ce film.
  17. Merci Peter pour la jaquette qui reste ce qu'il y a de mieux dans le pack boitier-cassette: le film ne vaut pas grand-chose et c'est bien longuet , par contre quelle belle Punch Video
  18. ça semble assez logique, t'es sûr que c'est ce que tu voulais dire ??? Si oui, j'ai pas bien suivi
  19. Alors même que j'adorais Isabelle Adjani à l'époque (Possession, Un été meurtrier, ...), j'étais resté bien surpris de sa prestation ahurie par moments, et par trop convaincu par l'ensemble que j'avais trouvé assez laid. PS: vu qq années après sa sortie à la Cinémathèque suisse
  20. et ben, si on m'avait dit (il y a 20 ans) que j'allais retrouver du Black Sabbath à la fin d'un film de ce type
  21. Espérons que cela marche ce coup-ci Bon, ben c'est un début
  22. Malgré la présence de Renée, à demi helvétique, le film ne sera pas distribué en Suisse pour d'obscures raisons de concurrence et de calendrier.
  23. Guillaume Tell

    NIFFF 2008

    Les riches.Ben alors, on fait une grosse colère. Il fait le malin le buralo mais en fait il vient Ce que tu dis pas c'est qu'il a dû mettre son plasma à Cash Converters et prendre un crédit Cofidis pour se payer des vacances en Suisse. Avec la montée de l'euro, il rentrera plus riche qu'il n'est arrivé. En comptant, bien entendu qu'il change plus que 20 euros pour 5 cinq jours. (Je suis à peu près dans les chiffres du pays des morts de faim Monsieur Cadburry ??? )
  24. Quel bol ! (Pas pour l'acouphène bien sûr )
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