Guillaume Tell

Un classique du cinéma (quasi familial) télévisuel, quelques années en arrière bien entendu, où tous s'extasiaient devant la méchanceté de Jean Yann. Un registre qu'il cultivait avec plaisir, le nôtre et le sien. Une Ford Mustang, cliché du parvenu 70', achève le personnage. Excellent souvenir.

Eh bien plussions vu que le sujet se présente. Pas vraiment passionnant, mais tellement assumé et riche en idées pas si innocentes, que le résultat, ou verdict, ne peut être que positif.

Si j'en crois l'annonce de Norman sur le compte-rendu, il sera à Neuchâtel. Qui d'autre l'accompagne? A tout' à Neuch'

Une fois de plus je loupe le festival des Lyonnais , et une fois de plus je ne despere pas de pouvoir y venir un jour. J'espere que tout se passe bien et vous souhaite un tout bon festival avec ce qui va avec, bonne presse, public sympa et nombreux, invites bien lunes, organisation sans couac, pellicules qui arrivent a temps et tout le toutim. Bisous, a plus. PS: pas d'accent, clavier espagnol, desole

non, j'avais jamais fait le rapprochement Mais ça aurait pu ( bon quand je dis j'adorais, cet imparfait implique une soustraction par plus d'une dizaine d'années ...)

Même en tant qu'ancien fan des Charlots, celui-ci vu en salle à sa sortie, j'ai terriblement souffert quand je m'y suis remis il y a un ou deux ans. Dommage.

Dire que j'adorais ce film , le reverrais bien, d'un autre oeil il est clair

c'est tout juste qu'est-ce que je voulais dire qui faut pas oublier: H&B ont exploité - surexploité - ces aspects "sensoriels" (son, matière, couleur ) dès leurs premiers court-métrages. Amer est une forme d'aboutissement de leur, pour certains convaincants pour d'autres prétentieux, courts métrages. Courts métrages, malgré une forte trame connue, relativement expérimentaux. Tout ça pour dire que selon moi, on est loin du film opportuniste, à la mode, facile qui un coup y va de son gros plan qui claque, un coup y va du son de la goutte d'eau qui résonne à casser les tympans. Le processus est réfléchi, mûri, maintenant à terme. Leurs courts-métrages témoignent de leur rigueur et de leur parti pris pleinement assumé avec AMER.

Ben alors Norman Pour Nico, emmène, emmène ... sera accompagné non ? On est pas des sauvages tout de même Sinon, content de rencontrer ceux que je ne connais pas tel Jeremie ou Mr Klauss. PS: me demande encore comment j'en arrive à me réjouir d'aller dans un bled pareil pour dormir dans un salon au milieu des cendriers pleins et des restes de Haribo

Finalement Gerardmer, c'est bien plus que des films. L'édito abracadabrant, le présentateur tondu, l'Est républicain, le bled bien moche, les bières du Lidl Price, le public abruti. Bref vivement la semaine prochaine et les Vosges.

si tu peux, la chambre est très grande, dormir avec Norman et Luc, j'ai de la place.

Un peu désarçonné par le mélange de genres, le docu qui vire en film d'action, j'ai tout de même beaucoup apprécié. Bien entendu, pas une minute de temps mort et des armes extra-terrestres vraiment incroyables . Les attaques sont ... explosives , rien de plus, à voir absolument. Un peu de social, un peu d'action, un héros qui n'en est a priori pas un: l'accord quasi parfait. Kero, si tu trouves deux minutes: go, ça passe encore en VO.

Ben merde alors Pas sûr que j'aurais pu me déplacer, mais Jello si près. Sniff On entend la motivation de la salle, quasiment plus de reprise du public que de son "scène" dans ce petit California Über Alles. Je pense que le public devait être aussi "Papy" que ce bon Jello. Et bien entendu: Dead Kennedys, inégalable.

Coucou les Frenchy ! Pour ceux qui ne sont pas encore convaincus que la Suisse grelottante est une inépuisable source de surprises et pour se mettre en bouche avant le LUFF, je vous laisse jeter un coup d'oeil au programme de ce Porn Film Festival qui aura lieu à Zürich en marge du Festival du film de Zürich http://www.pornfilmfestival.ch/ Il est vrai que la forme, deux films par jour, répétés à l'envi type salle pour habitués, quasiment sans ni début ni fin, ne donne pas une grande envie de se déplacer. Soulignons tout de même l'effort. J'ai même cru reconnaître un titre programmé à l'Etrange de Lyon 2009. Ceci dit il y a quand même un très bon choix que l'on espère tous en pellicule.

Merci. (Quelle belle jaquette, la Scherzo)

Au temps du glamour et du bling-bling en veux-tu en voilà, de la séduction soyeuse, PSYCHOSE ET FANTASMES SEXUELS DE MISS AGGIE a de quoi laisser pantois. Qu'a-t-il bien pu passer dans la tête de cet aimable Gérard pour aller tourner un film de charme, pour ne pas dire pornographique, dans une vieille ferme, par un temps immuablement gris et neigeux et dont l'héroïne est une veille fille en proie à ses souvenirs fantasmatiques. Finalement peu importe. Il a trouvé l'argent, il l'a fait. Tant mieux. A la croisée du fantastique et du porno, ce morceau de bravoure est ce qu'on nomme maintenant un OVNI du genre. Bien entendu, c'est excellent et notamment par cette trame inattendue. Pourquoi ne pas le répéter une fois encore: Damiano trop fort. Bon, pas de photos intéressantes.

Comme le sujet remonte: un de plus pour encourager à regarder ce Host captivant. Beaucoup apprécié.

One more pour un excellent film: rythme, casting, image , humour. Tout finalement.

Et par moment presque tendre pour finalement finir dans le désespoir le plus total. Il faut effectivement faire attention à ne pas être trop réducteur. Une expérience cinématographique rare; le genre qui se voit et qui ne se raconte pas. Au risque de tomber dans le travers dont nous parlons plus haut.

Cela a l'air d'être passé inaperçu, le 12 avril déjà. Une parmi tant d'autres direz-vous. Pourtant si classe dans un monde pornographique qui n'a de loin pas la réputation de l'être. L'occasion de jeter un coup d'oeil à Resurrection of Eve et à Rabid. Des Frères Mitchel à Cronenberg, ce n'est pas commun tout de même.

Merci PS: ça arrivera au CP6765 Kero, on pourra donc voir ça tout bientôt (commande à titre personnel bien entendu)

T'as vu cet Obayashi en DVD? Si oui, cela se trouve où? Sous-titre anglais? Merci PS: à moins que Kerozène ait déjà en stock ou sache aussi

Quel film ! Et comme diraient certains: la claque, ça faisait longtemps et ça fait du bien.

Très bien l'interview, et en citant le LUFF Parait que t'était au Japon et tu m'as rien dit. Y était aussi à Paques. (Japon), t'ai loupé semble-t-il) A voir tout s'est bien passé. Tout de bon.

Un peu tendu en voyant apparaître le nom de Sergio Grieco au générique, le malaise ne fut pas de longue durée. Ouf. Un Nunspoitation aux apparitions mammaires bien discrètes sans que cela ne gâche en rien le plaisir. Et bien oui, ça arrive. Cette déclinaison de Roméo et Juliette qui se cachent dans le même couvent, gouverné par la vipère qu'il se doit, n'a peut-être pas les outrances que l'on peut attendre d'un tel genre, mais tient parfaitement la distance. Inquisition, fouet, délire collectif: oui, mais un ensemble sobre et solide et pas en permanence, soutenu par de bon interprètes masculins. La fin peut surprendre par le message sur l'équité de l'Eglise. Mais bon, c'est tout tout tout à la fin et vraiment assez discret. Très agréablement conquis.