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Guillaume Tell

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Tell

  1. Suis tombé dessus par hasard dans un rayon de la BCU - Biblio Cantonale Uni... - et comme tous: la grande classe dans le désert australien. Donc, si un hérétique, comme moi, l'aurait manqué, je me permets un reminder. Un bémol sur la fin...
  2. Effectivement, alléchant. Maintenant, pourquoi elle, Benedetta, alors que la pensée commune suppose cette légère entrave chez les nonnes assez régulière Tout cela semble fort documenté et en fait l'intérêt: http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Bibliotheque-des-Histoires/Soeur-Benedetta-entre-sainte-et-lesbienne D'autres explications intéressantes sur l'intérêt de ces documents de procès: gfol1.virginie-efira.com/download/Compte_rendu_ws1036752102.pdf
  3. Pour moi, pas trop long (sans sieste, ai tout bien regardé, même à Gerardmer...) et particulièrement digeste quand les films de super-héros ne sont pas notre tasse de thé.
  4. Je plussoie. Fan du premier, me suis précipité pour le deux, sans le regretter un instant. A noter: ils courent et Laffite a un t-shirt Mizuno, donc très bon film
  5. A l'époque, comme on dit, même le magazine hype Actuel se fendait d'un article sur la transformation de Coluche. C'est surtout cela qui avait précédé le film. https://www.abebooks.co.uk/ACTUEL-MENSUEL-DECEMBRE-1983-COLUCHE-RIGOLE/6489230101/bd
  6. Un peu craintif des deux heures et seize minutes annoncés, le final, ahurissant d'improbabilité ou de délire selon où l'on se place, fait bien passer les deux trois longueurs du truc. Surprise quant au léger second degré et à l'autodérision, et non surprise quant aux deux uniques mimiques du pauvre Vin qui continue à grossir et à aimer la famille plus que tout au monde. Bref, c'est pas mal du tout.
  7. Vaste et intéressant sujet. Premier souvenir car je vois que le titre apparaît souvent: les Gremlins. La jaquette de la vidéo, sur le hall of fame du couloir de l'appartement, un mur de cassettes vidéo, juste pour l'ambiance, devait les avoir marqués sans m'en parler: ils n'ont jamais voulu voir le film.... La patte qui sort de la boîte leur faisait horreur et donc pas de film. Peut-être, faire un test avec jaquette avant projection? PS: pour ma part, c'est bien vieux tout ça, 19 et 20 ans au compteur pour mes deux rigolos, madame et monsieur.
  8. Pas de chauvinisme possible, le film fait son petit 8.0 sur IMDB, est resté longtemps en tête des cotations des journaleux sur Allo Ciné et a depuis longtemps dépassé nos maigres frontières. Par contre.... Pas de chauvinisme, pas pour tout le monde... Que dire de ce titre qui laisse songeur: "Ma vie de Courgette", "Le Roi et l'oiseau"... 5 films d'animation pour enfants à la française. http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18657092.html Bizarre non?
  9. C'est pas gentil , même si c'est vrai, de faire planer autant de nuages sombres sur le film qu'on attend et qu'on a pas encore vu. Comme j'ai plutôt tendance à vous croire, vais y aller avec moins de réjouissances. Sniff!
  10. Il y a un point sur lequel je rejoins tout le monde: pourquoi donc vendre ce film avec une étiquette comique? Mystère du marketing. Clair que le ton amer de l'ensemble en a surpris plus d'un. Ceci dit, vrai aussi pour quelques fulgurances comiques bien placées. Par contre, et là il me semble ne rejoindre personne, c'est tout de même sans ennui, continuellement propice à la réflexion et , un tout bon film. Point, voilà qui est dit. PS: Cyril, vrai que c'est peut-être pas le meilleur film pour emballer ....
  11. C'est vrai, un peu trop de sujets qui interfèrent les uns avec les autres et ..., comme dit, on perd de vue le sujet principal. Ceci dit: Et re ceci dit: Voilà, pas convaincu tout de même.
  12. Effectivement, difficile de savoir qu'en penser. A priori: Ceci dit, heureux de voir la puissance de la qualité made in Switzerland dans l'inconscient mondial.
  13. Vrai que c'est plutôt sympathique et assez drôle. Un fond assez improbable, deux soeurs, un type, une cabane, , une île, de la flotte, des souvenirs, mais bon bien goupillé tout de même, sans temps mort. Un bon moment. Pour le casting, les mauvaises langues diront que Vincent Macaigne n'était pas libre. Et c'est vrai, que ça fait un peu sous-genre, mais c'est peu de chose.
  14. Les faubourgs aisés d’une ville sur la côte atlantique.George, jolie jeune fille de 16 ans, tombe amoureuse d’Alex. Pour attirer son attention, elle lance un jeu collectif où sa bande d’amis va découvrir, tester et repousser les limites de leur sexualité. Au milieu des scandales et de l’effondrement de leur système de valeurs, chacun gère cette période intense de manière radicalement différente. Un titre que n'aurait pas renié maître Capello... et surtout une occasion de se tromper à l'achat du billet, le sourire emprunté, face à l'étudiante Pathé, qui reste détendue, peu effarouchée, sans réaction apparente et préfigure les personnages du film Le titre associé,Une histoire d'amour moderne , bien choisi et tout à fait dans le ton, est clairement plus simple à utiliser Même si le film vaut pour sa conclusion en deux temps, l'ensemble sonne juste. L'ombre de Clark ne plane pas sur les scènes d'orgies adolescentes, pas de confusion. Tout jeunes acteurs et plus d'une gueule, assez impressionnant. Fond électro très plaisant, mer, interrogations mêlées d'actions, ou le contraire, surf, insouciance, bref tout bien.
  15. Il semble effectivement qu'il y a pas mal d'indulgence dans nos jugements. Ceci dit, plusieurs scènes sympathiques, certaines presque touchantes, d'autres plutôt dispensables et un combat final modernisé, tonique et bien mené, soit un bilan plutôt positif. Quant à Philadelphie, toujours aussi moche et sibérienne.
  16. Vu il y a déjà trois semaines, j'attendais paresseusement l'intervention de Jeremie... et m'étonnais de la non-apparition du titre sur ZB vu le claquage de beignet bienfaisant que cette nature affolant les sens procure. De mon côté, la palme revient à Isabelle Carré qui fait péter tous les manomètres de la sexytude l'air de ne pas y toucher . Karin Viard aurait la palme des textes casse-gueule négociés en dérapage très contrôlés. Ensuite, mention spéciale pour tous les seconds rôles remarquables, particulièrement Laurent Poitrenaux (oui, j'ai dû chercher son nom sur le net ), en gendarme débonnaire et malin, qui apportent énormément à l'ensemble. Et tout le reste dont parle Jeremy. Bon, ben, voilà du tout bon frenchy, plus que recommandable.
  17. Exactement pareil.... Et Jeff Daniels, en directeur de la NASA, les mains dans les poches, y a un truc qui passe pas
  18. Ouais, ouais. Plutôt déçu. Bordélique et inégal sont les bons adjectifs. Me suis passablement ennuyé et les deux trois pics de méchanceté de Poelvoorde ne relancent pas la machine belge à distiller le maussade. . Dommage.
  19. Bien moi, cela m'a beaucoup plu. Particulièrement, ce côté pleurnichard, pour ne pas dire paumé. Pas mal de chances gâchées, sa faiblesse et ses monologues internes. Et finalement, la femme comme force, qui sous-tend l'ensemble, présente ou finalement absente. Reste l'homme, sa grande gueule et son errance. Intéressant. Par contre, moins convaincu par la construction qui suit une série d'expériences qui tire gentiment sur le catalogue Marie-Claire été "Toutes les expériences qui vont vous débloquer du cul". Pas très personnel. Puis le côté franchouillard qui tue tout sorti de l'hexagone: un policier qui donne des conseils à un prévenu sur les boîtes à partouze. Mais ce sont de détails, l'ambiance reste bien marquée.
  20. Oui, effectivement. Intéressant aussi pour le matos qui ajoute au truc. Gants en laine .... La face Nord de l'Eiger fout déjà les jetons depuis le village... Accessible à tous. Sinon pour une bonne immersion montagnarde, La mort suspendue, au Chili, fait réel, deux alpinistes, de 2003. Brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
  21. Tu l'as dit Jeremie: comme c'est long. M'était laissé aller pour Paul Thomas Anderson dont certains films sont tout de même marquants, pour divers points de vue. Une tentative de placer une énigme type polar américain bien tordu dans le monde hippie de la fin des sixties? Ai pas trop compris l'entreprise. Toujours est-il que cela ne fonctionne pas. Le rire parfois gêné du public aux quelques tentatives de décalages humoristiques en disait long. Ajoutons à cela le sentiment que personne ne doit faire de l'ombre à la star caméléon: aucun personnage n'a de réel caractère et tous font un peu sous-quelque chose. Que l'ensemble fait fauché et que Franco n'aurait pas renié certains tours de passe-passe, notamment celui de la goélette de la mafia asiatique qui va et qui vient à trois cent mètres des côtes. A se demander si les heureux possesseurs savent qu'ils ont participé au dernier Anderson.
  22. Eh bien ici aussi, très bonne cote par le bouche à oreilles. Et finalement, bof, bof. Oui pour l'ambiance de l'hôtel, le fantastique n'est pas loin. Par contre pour ce qui est du règlement de compte familial, c'est vraiment mou du genou. Manque de pot, le film est scandinave et la comparaison à ses illustres prédécesseurs en matière de destruction psychologique de couples ou de famille se fait quasi automatiquement. La déception suit.
  23. Et ben, c'est pas très encourageant tout ça.
  24. Bon ben voilà, un deuxième qui a mal vieilli. Suis prêt pour la salve acide. Pas revu depuis disons 25 ans et effectivement, ai été très déçu.Peut-être attendais-je le ravissement premier? Plans compliqués pour pas grand chose, course poursuite et final abracadabrant, énigme du complot entre les mains d'un seul homme dont on ne sait quasiment rien si ce n'est que maintenant il est un vrai méchant dans Dexter. Bref, au-delà des sympathiques images eighties, d'un Travolta appréciable et des clins aux films B à nichons, un peu le bordel.
  25. La claque souhaitée et attendue il est vrai tant les autres réalisations de Reygadas sont radicales, mais claque tout de même. Bel effort pour le texte ci-dessus: écrit, juste si j'ose dire, pour ZB? Enfin, espérons que cette courte réponse vous encourage à vous laisser hypnotiser.
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