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Le contrat - John Irvin - 1986


Basculo Cui Cui

Messages recommandés

  • 1 year later...

Film tres con, j'ai l'impression que Schwarz avait grillé que le scénar ferait un film tres con.

Mais c'est pas plus mal, c'est pas un chef d'oeuvre, mais c'est un bon actionner des années 80.

 

A la fin dans la carriere de gravillons, Schwarz balance un mec dans une broyeuse et ça ça demonte bien (bon c'est un mannequin )

 

La VF est à la hauteur du film avec des phrases du genre:

 

"Monsieur je refuse de rien dire"

"T'as choisi conduire et boire!"

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  • 2 years later...

Je me souviens du score de Faltermeyer (je crois). A l'image du film : froid et sec.

Bon c'est du John Irvin, pas vraiment un esthète, et ça ne part pas trop dans le sentimentalisme... j'en ai un souvenir correct, quoiqu'un peu fadasse.

A l'époque Schwarzy nous abreuvait de choses assez fortes, quand même, entre Walter Hill, Cameron, Milius, j'en parle même pas... là c'est un peu pisse froid quand même.

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C'est quand même asssez chiant. Bon la présence d'Arnold est un bonus appréciable, d'ailleurs on aurait pu faire exactement le même film avec Steven Seagal et ça aurait été encore plus chiant, mais ça manque de bourrinage outrancier. Certes, ya des mafieux qui font le signe de croix, des flics qui jouent au Trivial Poursuit, Arnold qui laisse tout tomber pour aller flinguer le truand du coin qui a plombé le fils du pote (monumentale erreur !), sa gonzesse qui fait des gateaux au caca pour symboliser son mal de vivre, Robert Davi en porte-flingue, tout ça c'est très bien. Mais c'est pas ça. Après sur D8 y'avait le Shaft de Singleton, et à registre quasi égal c'est quand même d'un autre niveau.

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J'ai toujours trouvé John Irvin curieusement sous-estimé.

C'est peut-être loin d'être le meilleur dans sa partie mais il a régulièrement emballé des produits nettement au-dessus du lot, qui ne pêtent pas plus haut que leur cul et se distinguent souvent par une "touch of class" faisant défaut à la moyenne des produits similaires.

 

"Les chiens de guerre", "Ghost story", "Hamburger Hill"... Pas forcément le haut du panier mais ça se défend de manière plus qu'honnête dans le genre série B atypique.

Même un truc comme "City of industry" parvenait, malgré l'inanité du scénar, à en partie accrocher grace à une curieuse ambiance, des décors en restituant bien la froideur et une utilisation parfaitement décalée de la musique (du trip-hop sur fond de poursuite et vengeance).

 

Après, c'est clair que ça peut sembler un peu léger à côté de ce que pouvait sortir Schwarzie à l'époque.

C'est fou comme ce mec, à défaut d'exceptionnels dons d'acteur, a toujours eu un flair phénoménal concernant le choix de ses metteurs en scène (enfin, dans la première moitié de sa carrière, s'entend)...

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il faut aussi exclure presque tous les films recent genre "la fin des temps", "le 6eme jour", "dommage collateral" qui sont assez catastrophiques pas sur sa prestation (parce qu'il est toujours génial ) mais sur les films à la trame trop bien pensante, cachet pré electoral oblige notamment se retour sur terminator 3 où je suis personnellement convaincu qu'il a fait pour dynamiser son siège...

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  • 7 years later...

Je m’apprêtais à poster un avis et là je m'aperçois que c'est déjà fait...

 

Revu donc, et je n'en avais aucun souvenir. Bon mon opinion ne change pas des masses d'il y a 6 ans (!), à part sur le final qui prouve que Last Action Hero n'a pas forcément eu besoin de forcer trop le trait. Arnold qui fout sa cassette des Stones avant de partir jouer à la guerre, c'est quand même bonnard .

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