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Vampyros lesbos de Jess Franco (1971)


Dragonball

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"Vampiros lesbos"

 

 

 

 

 

Un des premiers Franco que j'ai découvert. (enfin je crois !)

 

Je n'en ai plus trop de souvenirs à part le fait que c'étais marrant et que la musique psychédélique m'avait bien fait rire !

 

Désolé, je ne saurais pas vraiment en dire plus !

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mon Franco preferée. poétique, atmosphérique...et puis y'a Soledad et cette sublime musique psyché ! sans oublier le dernier plan carrément magnifique ! comme le dit Exynox, ça t'amènes dans une autre dimension. sinon je n'vois pas vraiment ce qui a de si drole dans ce film...

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C'est vrai que même moi qui suit pas fan de Franco ds le peu que j'ai vu, ben je garde un sympathique souvenir de celui-là, une belle ambiance, une musique vantée de partout, un joli trip sensuel pop psyché 70's, banco !

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  • 2 years later...

Visiblement, Vampyros Lesbos se plaît à partager le public, nanar érotique parmi d'autres, ou pièce flamboyante de fantastique déviant. J'avoue avoir eu le cul un peu entre deux chaises...

 

Une approche colorée et solaire du vampire qui détonne, totalement dans l'air Flower Power, avec baignade, bronzage, villa de luxe et corps brûlants en opposition avec les châteaux hantés, la chair froide et les cercueils poussiéreux qu'on croisent habituellement. Franco n'y va pas par quatre chemins et nous livre un dérivé lesbien et moderne du roman de Bram Stoker, comme il se plaira à le faire plus tard pour d'autres icônes horrifiques comme la Bathory, Dorian Gray, Frankenstein...

Passé les (fatiguants) zooms et dezooms, les bavardages inintéressants et une symbolique dépassée, il y a comme ça des passages érotico-hypnotisants d'une grande efficacité, avec ses éclairages surréalistes hérités de Bava, les poses lascives de la sublime Soledad Miranda et des musiques proprement hallucinatoires.

Approximatif mais séduisant.

 

 

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  • 4 years later...

Un Jesus Franco dans le haut du panier, même si je préfère encore "Le Sadique Baron Von Klaus"

 

Derrière une histoire assez décousue partagée entre l'héritage de Dracula envers une comtesse, des problèmes de couple et de l'occultisme cheap, on suit les aventures d'une femme d'affaires partagée entre la normalité de son couple et l'attirance extrêmement forte envers une femme vampire (interprétée par la très troublante Soledad Miranda). Bien que tout se passe en Turquie, dans un Istanbul brumeux, très joliment filmé.

 

Mais pourtant, Franco ne fait jamais rien comme tout le monde, et traite son film comme une œuvre d'art cubiste, avec pas mal de plans inventifs, des effets artistiques bien cheaps mais paradoxalement très réussis. La musique est superbe à défaut d'être classique et prolonge l'état de béatitude devant un film très beau, ultra immersif, tourné avec un budget équivalent à une Fiat 500 d'occasion (je plaisante même pas). Le rythme assez lent, avec une narration pour le moins floue, mais on s'en fiche ! La sauce prends, et telle une fièvre, on est perché à une histoire érotique entre les deux femmes, d'où découle une réelle tension et une ambiance à la frontière de la sensualité et du malsain... alors que le scénario tient dans un timbre poste.

 

Donc on résume : scénario quasi-inexistant et téléphoné, budget rachitique, mais le travail de maestro sur la photographie, les plans, les atmosphères et l'érotisme de Soledad Miranda en font un film extrêmement sympathique.

 

Un film pour ceux qui aiment les vampires, les femmes, les ambiances leeeeeennteeeemeeeent psychédéliques

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