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1941 - Steven Spielberg - 1979


Jeremie

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Le film de Spielberg que tout le monde se plaît à oublier visiblement...et y'a pas de quoi.

 

Bordel monstre à Hollywood dans les années 40 : l'ennemi arrive...enfin plus ou moins

 

Complètement MAD (mais non pas ce mag', l'autre ) de la première à la dernière image : généralement je me souviens plus de rien vu comme le film me vrille le cerveau à chaque vision

 

La parodie de Jaws, la grande roue qui se détache avec Eddie Deezen dessus, Dumbo au cinéma, la bagarre dans le bar, la maison qui part en miettes, Belushi dans son avion, Nancy Allen qui baise, Christopher Lee en nazi...

 

C'EST BOMBESQUE !!!!!!!

 

Et un wallpapeuuuuuuur

 

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Le film de Spielberg que tout le monde se plaît à oublier visiblement...et y'a pas de quoi.

Ah non, pas de ca chez moi hein !!

Je le remate quasiment 1 fois par an (presque...). D'ailleurs, je vais pas tarder a m'en refaire une seance.

 

L'un de mes films cultes, l'une des meilleures comedies que j'ai vues.

Rien que Toshiro Mifune qui parle en japonais a un Christopher Lee qui lui repond en allemand, ca me rends tout fou !

 

HOLLYWOOD !!

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Quand je parlais de "tout le monde", je parle des "autres"

 

L'enfer c'est les autres.

 

Sinon tout pareil que Niko13.

Belushi dans son avion... Robert Stack qui pleure devant Dumbo... la grande roue...

Un chef d'oeuvre de boursouflure extatique.

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  • 1 year later...

Le film me fait pas rire mais alors pas rire du tout...J'aime juste Belushi qui boit sa biere à la régalade avec son cigare dans la bouche.

La scène de drague dans la bombardier avec nancy allen est du même niveau que embraye bidasse ça fume. Sinon, y a du pognon, un joli scope mais c'est pas drôle!

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  • 1 year later...

ah mais quelle horreur ! c'est insupportable du début jusqu'à la fin, ça pu déjà les années 80 son truc ...mais du mauvais côté. Le petit génie à la caméra à plein de thune à claquer et ne s'est plus quoi faire et surtout comment pour le dépenser.

 

Je n'ai pas décroché un sourire et pourtant le film passe bien, je ne sais pas peut être que je me demandais jusqu’où il serait capable de tomber.

 

La scène d'ouverture est une honte, se parodier à ce point et ce rendre ridicule , c'est juste inadmissible.

 

Heureusement il y a Nancy Allen et Warren Oates

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  • 1 month later...

Exactement identique à mon lointain souvenir, à savoir : deux sourires indulgents en tout et pour tout au cours de la projo.

Spielby est doué pour beaucoup de choses mais certainement pas pour la comédie (pas de ce style, en tous cas).

 

Le making-of présent sur le double dvd révèle de son côté moult pépites comme ces instants où, entre les congratulations d'usage, apparaissent quelques dissensions entre les protagonistes : Spielberg, toujours aussi margoulin, minimise sa responsabilité envers l'entreprise (tout est toujours la faute des autres), Zemeckis regrette que son scénar noir et tordu ait été transformé en slapstick géant (la fin initiale devait voir le héros lâcher la bombe sur Hiroshima) tandis que Milius, égal à lui-même, laisse transparaître sa fascination pour la chose guerrière...

 

Soit un document en fin de compte bien plus intéressant que le film (pas dur, ceci dit)...

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  • 10 months later...
  • 4 months later...

 

Totalement démesuré, auto-parodique (clin d'oeil aux Dents de la Mer, entre autres) comme annonciateur des bombes à venir (quand deux de nos héros se retrouvent face à...un dinosaure !), loufoque, dégénéré, insensé, constamment dynamisé, dans tous les sens du terme ...

 

Spielberg on fire dans tout son art du Spectacle, du mouvement taré et de la chorégraphie, de la référence amoureuse et du rythme à rendre fou un orchestre de cocaïnomanes...

 

Bob Gale/Zemeckis on fire (avec la contribution de monsieur Milius), dans tout leur art de la causticité, de la parodie sociétale, du politiquement incorrect et de la foisonnance de séquences ironiques...

 

Quand l'Histoire Américaine fornique avec le cartoon, quand un humour barré rempli d'allusions sexuelles se confronte à un tempo ordonné par un Williams des grands jours, dans un bain de portnawak au pays d'Hollywood...

 

Et dire que le mec responsable de cette oeuvre de sale gosse sera le Président du prochain Festival de Cannes...

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