Benj

Au début j'ai pensé que ça allait me gonfler sachant que je ne savais absolument pas de quoi ça causait à part de politique, et que le film récoltait des louanges un peu partout. Et puis finalement on a droit à un film bien tendu et nerveux sur un type qui essaie de se sortir de la mélasse à tout prix. Les 2h passent comme papa dans maman et y a des séquences incroyables qui tiennent en haleine (la recherche d'un disque dur, l'enregistrement d'un pote...). Réputation mérité.

Voilà ça met bien dans l'ambiance de Noël sans casser les couilles avec Jésus. Ça revisite le mythe du père Noël plutôt intelligemment, même si y'a une pointe d'esclavagisme dans un coin. L'animation est nickel, c'est bien doublé et ça s'oublie très vite. C'est parfait pour la fin de l'année.

Alors moi je suis moins attaché à la picole, aux bandes de potes et à la fiesta, mais pour autant je n'ai pas passé un mauvais moment. J'avais quand même envie que ça se termine au bout de 45 min parce que je voyais presque où ça allait nous emmener.

J’ai un peu peur perso. Parce que le père Ford n’est plus tout jeune et que j’ai peur des doublures numériques ou d’un effet foiré à la The Irishman.

J'ai pas forcément aimé, mais j'ai pas trouvé ça dégueulasse. Ce qui aide ce sont les SFX impeccables, pour peut que l'on accroche aux tronches de rats des personnages. Et les CGI d'époque tiennent bien mieux la route que ceux d'aujourd'hui. Aussi la réa d'Howard qui a encore cette patine 90's, dans l'image vu que c'est du 35mm et même dans la mise en scène. Bon parfois c'est crado avec ces plans débullés et ces accélérés et ralentis. Après c'est beaucoup trop long et décousu au début, avec l'inclusion de l'origine story du Grinch qui n'est pas nase mais qui rallonge le film pour pas grand chose. Toutes les scènes avec le Grinch solo dans sa tanière sont également branlantes car c'est le festival Jim Carrey et on sent Howard complètement débordé par la performance de Carrey. Ce qui donne lieu à des scènes qui encore une fois rallonge le film et qui sont limites gênantes. + y a de la chanson de merde de Noël, mais y a un chien sympathique. Voilà c'est pas le caca que j'espérais mais c'est pas un truc que je reverrais un jour.

Trop confus pour son propre bien. Pourtant l'histoire au final est facilement compréhensible, mais y a tellement de trucs qui auraient pu être laissés de coté et qui aurait permis de passer un meilleur moment. C'est pas forcément beau, ni moche. C'est juste un gros gâchis surtout si on pense au temps passé dessus.

J'ai arrêté au bout de 4 épisodes. Des épisodes de 50 min c'est trop long pour ce que ça raconte et ça étire les intrigues (quand y'en a) pour rien. Je ne sauve que le 4ème épisode réalisé par Ana Lily Amirpour qui est le plus fun, et le second réalisé par Vicenzo Natali avec les rats qui est sympa mais totalement insipide.

Au delà du fait que ça soit moche (cet hopital psychiatrique blanc minimaliste ça fait très cheap DTV 2000), mal écrit et mal joué, j'ai trouvé que c'était tout de même sympa pour ce que c'est. C'est généreux en gore, peu de CGI et pas mal de SFX bien foutu. J'ai pas trouvé que Chucky soit plus mal animé que d'habitude, c'est une poupée plastique et dès les premiers épisodes c'était pas non plus Yoda. Le cast est aux fraises, le gars qui jouait Andy dans les premiers opus est vraiment un non acteur dégueulasse. Y a que Fiona qui s'en sort. Le scénar est débile à souhait, le psy a des méthodes thérapeutiques discutables quand il ne tripote pas les patientes, y a des couteaux dans des tiroirs à la portée de tous, et des poupées envoyées à l'hosto sans qu'on sache vraiment pourquoi. Ça reste quand même plus sympa qu'un Vendredi 13 ou Halloween. A priori ça embraye direct sur la série de SciFi, qui apparemment ne serait pas trop mal.

Ouais bon comme le précédent, c'est un film ok pour passer le temps. Ce qui est bien pour le coup avec cette saga c'est qu'aucun n'est décevant et qu'aucun ne va chercher à surfer sur une mode. On aurait pu avoir une saga ou ça slash à tout va et finalement on a 3 films corrects. Après c'est pas ma came encore une fois, et Perkins ne me fait jamais d'effet. Mais je souligne la bonne tenue de la franchise, qui apparemment se casse la gueule à partir du 4.

Film ok. Finalement c'est pas un genre que j'apprécie je pense. Après c'était malin de prendre à rebrousse poil les spectateurs en faisant de Bates une victime. Mais ça traine en longueur vers la fin et j'avais envie que ça s'arrête. Toujours pas convaincu par Perkins. Tilly est choupette.

Vu et voilà. Le problème c'est que j'ai sans doute vu des ersatz de Psycho avant de voir celui là. Et même si je ne connaissais pas l'histoire avec la daronne et ben je suis resté de marbre devant le film. Anthony Perkins ne m'a pas plus fait vibrer que ça, j'ai pas trouvé que ça jouait excellemment, ni que la réal était tip top (y a quand même des enchainements de plans dégueu faut pas mentir). Ok c'est sympa de buter la meuf au milieu du film, mais après l’enquête c'est pas non plus une masterlcass. C'est pas un film que je reverrais, pas comme Citizen Kane qui a priori se laisse revoir pour en apprécier la valeur. Et ça ne me donne pas plus envie que ça de mater des Hitchcock.

Une suite que j'ai trouvé meilleure que le premier. L'histoire on s'en fout puisqu'on l'avait déjà oublié à la fin du premier, mais ça tatane et ça fait vroum efficacement. Stefi pète même des bouches. Ça assume son coté un peu bis avec la bagnole et son grappin électrique et c'est tant mieux. Et y aura un 3.

Balek de son avis en vrai. De toute façon la série n’est pas centrée uniquement sur NTM. Mais ouais quand on voit dans quoi il joue bon… il devrait s’abstenir de l’ouvrir.

Bon alors moi j'ai kiffé de A à Z. Surement que certains trucs ont été romancés, c'est assumé mais pour le coup ça ne se remarque pas. Ça reste tout de même assez fidèle à la jeunesse de JoeyStarr et Kool Shen, Dee Nasty et Lady V, y a même Assassin dans le coin, le breakdance, le graff, le DJing. Pour les amateurs de rap français c'est un bijou. L'interprétation est tip top, Anthony Bajon est remarquable en Kool Shen, JoeyStarr ça passe, Dee Nasty c'est chelou mais pourquoi pas. Pour les nostalgique de l'époque c'est un must, pour les non amateurs du hip hop c'est quand même une bonne curiosité. C'est sur Arte gratos, et plus tard sur Netflix, mais bon autant allez sur notre bonne chaine franco-allemande.

J'ai trouvé ça très bien, je n'ai pas ris à tout, y a peut être 2 ou 3 trucs nases mais dans l'ensemble ça divertit comme il faut. C'est quand même au dessus des Marveleries pseudo cool avec leur humour de merde à la Waititi ou Reynolds. Après j'attends pas forcément le prochain Gunn.

Voilà là c'est autre chose que les films de Miyazaki. Dans celui là je trouve qu'il y a plus de poésie que dans un Porco Rosso ou un Totoro. Peut être parce que le sujet est plus encré dans une réalité qui me parle. Sinon c'est vraiment excellent de A à Z, on ne sait pas où ça nous emmène tout du long et ça distille les pistes intelligemment. La DA et la réa est au top, j'ai même cru voir un petit peu d'animation du studio qui avait fait Amer Béton et MindGame.

Décidément les Miyazaki ça passe pas avec moi. Enfin ça passe mais ça ne me touche pas. A part le perso en forme de porc, le reste j'ai trouvé ça très bof. La compèt avec l'amerloque et les pirates m'ont laissé de marbre. Y a que le passage chez le mécano que je retiens. Puis tous les mâles qui veulent se farcir la meuf de 17 piges bon... Je ne dois pas être sensible à la "poésie" de Miyazaki.

J'aime bien. Adam Scott peut tout jouer. Ben Stiller peut tout réaliser. C'est assez tortueux sans que ça en devienne relou (à la Lost genre t'as vu). C'est tout.

Tueur de cafard - Jacques Tardi, Benjamin Legrand Mon premier Tardi. J'imagine que la plupart des gens ont lu du Tardi et ses BD sur la guerre, et/ou Adèle Blanc-Sec. Moi je ne connaissais pas, ou vaguement le trait, et je voulais m'y mettre. Pour commencer j'ai choisi une œuvre qui m'attirait plus car se passant dans le NY des 80's. Et pour le coup l'ambiance qu'on connait de part les films est bien retranscrite. L'histoire est kafkaïenne à souhait mais un peu courte pour vraiment s'immerger dans le récit. Arkham Asylum - Grant Morrison & Dave McKean Meh, j'ai pas accroché au dessin/peinture. Ni au récit d'ailleurs. Je commence à croire que je ne vais aimer que le Dark Knight de Miller. Opus 1&2 - Satoshi Kon Oui bon c'est méta, l'auteur qui entre dans son œuvre et inversement. Finalement c'est pas un sujet qui me passionne plus que ça et j'ai eu l'impression d'avoir déjà vu/lu ça ailleurs. Fausse Garde - Merwan Lu après Mécanique Céleste (mais réalisé avant) et j'ai trouvé ça un peu en deçà, sachant que c'est presque le même type de récit, le sport toussa. Graphiquement c'est superbe, et on verra que dans Mécanique Céleste l'auteur a affiné sa trait et ses univers. Mais ça reste du très bon.

Je regarde parce qu'on me la vendu comme LA série du moment. La série feel good qu'il faut absolument voir. Je suis un peu perplexe sur la série après la saison 1 et le milieu de la S2. Je trouve ça pas très bien écrit en fait. J'ai bien compris que la base du perso principal c'était son coté ultra positif et chaleureux, mais le problème c'est que ça s'applique à toute la série. Y a pas un seul connard dans cette série, à part Jaimie Tartt, et encore le gars va avoir son arc de rédemption à un moment. Le Cantona de l'équipe est décrit comme un mec vénèr tout le temps mais au fond c'est une crème. L'équipe est constituée au pire de mecs un peu benêts. Tout est enrobé de bons sentiments et de calinous qui fond chaud au cœur. Loin de moi l'idée de vouloir voir un truc cynique ou poil à gratter à tout prix, mais là c'est quand même l'overdose de choux à la crème. En plus perso le foot je m'en cogne, mais j'ai quand même réussi à me trouver lésé sur cet aspect. Ok le gars n'est pas entraineur de soccer, mais on s'en fout un peu parce qu'on nous montre peu ou de la merde quand il entraine son équipe, du coup la problématique de base s'annule. Et ça enchaine les victoires, et les défaites comme ça, et même dans les défaites c'est la fête, même après être relégué il n'y a aucune conséquence. Heureusement que les acteurs sont bons, Sudeikis pas tellement, mais le ramasseur de balle et la patronne sont très bons. Bref c'est la dictature du bonheur, et ça m'emmerde un peu. Que ça soit si flagrant c'est ce qui me gêne en fait, et je ne pige pas qu'on ne trouve pas grand chose à redire sur cette série.

Comme la plupart du monde j'ai trouvé le film esthétiquement superbe. Après rendre beau la violence et la misère sociale je ne sais pas si c'est bien ou pas. Ça met le film avec son cul entre deux chaises, ce qui amène à se poser des questions sur Gavras et son fantasme de la banlieue. Le fond par contre c'est pas terrible. Y a tous les clichés possibles et imaginables sur les banlieues et sa population. La famille principale c'est un cliché sur pattes. Y a forcément un radicalisé. Et forcément un bon flic. On rajoute à ça un retournement de personnage sorti de nulle part qui baise la fin du film (la fin des films chez Gavras c'est pas ça). Puis cette dernière séquence qui sent la crotte là... Et faut qu'il arrête avec ses chevaux.

La saison 5 c'est vraiment la fin de ce qu'ils pouvaient faire avec cette série. Ca tourne en rond avec de nouveaux bad guys sortant de nulle part, ça ramène un type de la saga originale mais ça va pas plus loin. Y a toujours pas Hillary Swank. Les combats sont toujours les mêmes, les alliances, les love stories pareil. J'ai passé la majorité des épisodes à faire autre chose. Y a que le dernier épisode qui intéresse un peu vu que c'est une baston générale. Mais le niveau de baston est vraiment pantouflard, comparé à du John Wick, The Raid, Warrior la série ou de la série B avec Scott Adkins c'est un peu la honte. La saison 6 n'a pas encore été annoncée, et c'est pas grave, la saison 5 s'arrête un peu sèchement mais ils ont vraiment essoré le truc jusqu'au bout là.

Cool merci ! J'ai les deux premiers Émile Bravo mais je n’ai pas encore posé les yeux dessus.

J’aimerais bien me taper des Spirou mais quand je vois le nombre de tomes qu’il y a ça me refroidi.

Voilà une saga que je ne m'étais jamais faite. La faute à l'esthétique des singes à rouflaquettes des 70's qui m'a toujours rebuté, j'ai toujours vu des jouets ou des goodies avec leur gueules flippantes dessus quand j'étais enfant. Et le fait que passé la révélation finale du 1, je ne voyais pas l’intérêt du truc. Y a un topic pour le 1 : lien pour le topic du 1 t'as vu Beneath the Planet of the Apes (Le Secret de la planète des singes) – Ted Post (1970) L'astronaute Brent est envoyé au secours de Taylor, mais s'écrase à son tour sur la "planète des singes". Cherchant à retrouver son compagnon avec l'aide de Nova, il suit sa trace jusque dans la "Zone Interdite" où il découvre une société de mutants humains télépathes... Alors là on est déjà bien un cran en dessous du premier. Déjà parce qu’on a un récap du premier qui prend bien 5 minutes pour rien. Deuxièmement parce qu’on a une redite du premier dans sa première partie avec Bret le blond qui déboule, qui se fait chasser, qui s’enfuit puis qui se refait chasser. Entre temps il a retrouvé Nova qui n’ouvre toujours pas la bouche, alors qu’ils auraient pu créer une ellipse pendant laquelle elle aurait appris à causer avec Charlton. Mais non du coup Bret le blond parle tout seul et on s’emmerde. Ensuite vient la deuxième partie avec les mutants qui ont décidé eux aussi de ne pas causer et on se tape des scènes avec Bret le blond qui parle tout seul encore. Et ça sort des explications sans queue ni tête sur qui sont les mutants, leur religion à la con, les bastons de regards et on suit ça sans trop d’intérêt. Ce qui sauve le film c’est son léger sous texte sur les sectes et la religion, les dirigeants belliqueux et très vite fait sur les pacifistes, parce que cette scène avec les chimpanzés hippies c’était vraiment pas terrible. Et cette fin radicale, même si bon y a un des 2 humains qui se jette littéralement sous les balles pour rien. Escape from the Planet of the Apes (Les Évadés de la planète des singes) - Don Taylor (1971) Cornélius et Zira parviennent à retourner vers le passé, et débarquent au 20e siècle à Los Angeles. Ils y subissent les mêmes tourments que Taylor sur la planète des singes, et découvrent petit à petit quels événements conduiront à la fin de la civilisation humaine et à la domination simienne. Celui-là est pas fou et limite un peu gênant. Le pitch de base n’est pas con mais la direction que ça prend après est très chelou. Parce que les séquences à la Pretty Women avec Zira et Cornelius elles étaient très chelou. Avec la zik façon Ma Sorcière Bien Aimée derrière en plus. Depuis le premier film je trouve que ça manque d’ampleur, le village du premier, la secte du deuxième. Et là quand les singes déboulent sur terre, y pas vraiment d’effervescence, y a juste le général qui débarque comme s’il allait chez Auchan, quand ils sont présentés à la commission la première fois on les fait juste entrer dans la pièce et basta. On connait un peu la suite du film malheureusement parce que c’est très classique aujourd’hui (arrestation, traque, etc…). Ça s’embrouille dans la religion de la saga, mais bon à la limite ça passe. Et au final ça se termine pauvrement dans une épave de bateau (merci Zira avec ton sac) avec Victor Newman qui fait n’importe quoi. Au moins la toute fin est radicale comme le deuxième. Conquest of the Planet of the Apes (La Conquête de La Planète des Singes) – J. Lee Thompson (1972) L'histoire suit le jeune César, le fils de deux chimpanzés intelligents venus du futur. Caché aux yeux du monde après le meurtre de ses parents, il découvre lors de sa première venue en ville que les humains ont transformé les singes en domestiques. Privé de son seul protecteur, le propriétaire de cirque Armando, César est obligé de se faire passer pour un singe domestique. Il prépare alors, secrètement, la révolte de ses semblables. Le sous texte sur l’esclavagisme et les afro américains est ici bien plus évident. Le film aurait pu être vraiment excellent si ça ne faisait pas aussi cheap. La réalisation caméra à l’épaule flingue l’ambiance je trouve, le côté pris sur le vif et les mecs en costume de singe ça donne une combinaison bancale. Alors que le sujet très social aurait pu donner un chef d’œuvre. Battle for the Planet of the Apes (La Bataille de La Planète des Singes)– J. Lee Thompson (1973) Plus de 23 ans ont passé depuis le soulèvement des singes orchestré par César. Ce dernier gouverne maintenant son village de la façon la plus juste possible, humains et singes cohabitant paisiblement. Les singes occupent toutefois les plus hautes fonctions, ce qui crée quelques incidents. Cet équilibre déjà fragile est malmené par le général Aldo, un gorille belliqueux vouant une profonde aversion à l'égard des hommes. Il défie César. C'est déjà mieux filmé que le précédent et y a quelque plans sympa. Mais budget oblige, on a déjà 5 minutes de récap, 10 minutes de gunfights mous dans un sous sol, et un assaut encore plus mous de 15-20 minutes à la fin. L'idée des mutants pour rejoindre le 2 c'était ok, mais les mecs avancent comme des vieux au marché du dimanche pendant l'assaut final. Ça se prend encore bien les pieds dans la mythologie, y a quand même un souci de temporalité entre celui là et le précédent, où aucun singe ne cause et là 10 ans après ils sont tous agrégés de lettre. Y a des trucs cools comme le vieux dans son armurerie et la visite de la vieille ville, mais à coté on s'ennuie un peu avec Caesar qui traine dans sa hutte avec son con de môme. ----- En résumé c'est pas une saga de ouf en vrai et pourtant chaque film a été numéro 1 au BO à son époque. J'imagine que les métaphores sociales devaient jouer beaucoup sur le succès des films. Et les SFX aussi, quoique c'est toujours la même came, qui devient moins bonne de film en film. Je préfère largement la dernière trilogie. Et je n'ai pas envie de me taper la série, ni le Burton, à la limite les comics si ils sont sympas. Si je devais les classer : 1, 4, 2, 5, 3. Sinon y a un film érotique avec Misty Mundae qui a l'air effroyable.