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Pulp Fiction - Quentin Tarantino - 1994


DPG

Messages recommandés

Palme d'or en son temps. Come back du siècle pr Travolta. Film important pr une génération et pr le lancement de la carrière de son auteur qui affirme ici clairement son style et aussi, un peu, ses tics.

 

Vu pas mal de fois durant ma jeunesse, j'aimais bp. Je l'avais pas revu depuis un paquet d'années. Il repassait là sur Canal, j'en ai revu un bout, je me suis un peu fais chier.....

 

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Vu pour la première fois récemment (ben oui), et j'ai franchement adoré. Plein, plein, plein de dialogues, mais je trouve qu'on se fait pas chier une seule seconde. On ressent bien la tension qui lie chaque petite histoire.

 

Samuel L. Jackson est tout simplement énorme dans ce film.

 

Bref: pesance.

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Ben honnetement, ça m'a surpris (et un peu attristé) qd je dis que je me suis un peu fais chier. Parce que je l'aimais vraiment bp plus jeune, et même si j'ai des réserves sur QT, j'aime qd meme quasi tte sa filmo (à des degrés divers) excepté "Boulevard de la mort" !

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  • 3 years later...
  • 5 months later...

Avec tout le tapage de Django, je me suis dis que ce serait pas trop mal de revoir ce (maintenant) classique, que je n'avais d'ailleurs pas aimé ado. Beaucoup de monde ont eu un rejet de Tarantino à partir de son tournant Kill Bill : disons que c'est plutôt l'inverse pour ma part

Et donc là, ben rebelotte : dès le début, j'ai envie d'arrêter. On casse souvent Tarantino sur les digressions verbales de ses perso et ses scènes de tables, mais celle de Pulp Fiction sont quand même assez chiantes surtout que le résultat est plus posé, plus statique et moins maniéré que maintenant. Comprendre chiant quoi

Reste la structure, originale à l'époque, et toujours maligne, où les histoires se croisent et s'entrecroisent...sauf que ça ne mène nulle part. C'est pas vraiment drôle non plus, tout le monde parle pour ne rien dire...même la fameuse scène de danse est naze. Non quoi. Django, Kill Bill ou Inglorious racontent au moins des récits assez ouf...

 

Une scène intéressante avec le recul : celle du sous-sol, qui annonce toutes les dérives de l'univers de QT (Kill Bill et Hostel entre autres), sauf que la scène est totalement loupée. On voit bien (surtout maintenant) comme Tarantino vise la scène WTF type exploitation cradingue 70's (je me souvenais pas qu'on voyait clairement Ving Rhames se faire sodomiser ), sauf que ben c'est tellement mou et distant que ça marche pas. Enfin pas sur moi en tout cas.

Voilà

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Je trouve que c'est finalement le Tarantino le moins encombré de références, sans doute parce qu'elles sont principalement littéraires et donc moins palpables. Elles concernent en outre un genre littéraire assez méconu chez nous. En celà, il est retropsectivement un peu à part et c'est celui que je préfère à revoir. Avec Jackie Brown, autre film issu d'un livre aux influences feutrées.

 

Je sais pas si c'est pertinent de dire que tel ou tel Tarantino est plus "personnel" qu'un autre (Kill Bill est-il plus ou poins personnel qu'un Reservoir Dogs ?), mais Pulp Fiction et Jackie brown me donnent l'impression de voir quel cinéaste et raconteur d'histoire Tarantino est réellement, contrairement à l'étalage de titres un peu vain d'un Boulevard de la Mort, par exemple.

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Une scène intéressante avec le recul : celle du sous-sol, qui annonce toutes les dérives de l'univers de QT (Kill Bill et Hostel entre autres), sauf que la scène est totalement loupée. On voit bien (surtout maintenant) comme Tarantino vise la scène WTF type exploitation cradingue 70's (je me souvenais pas qu'on voyait clairement Ving Rhames se faire sodomiser ), sauf que ben c'est tellement mou et distant que ça marche pas. Enfin pas sur moi en tout cas.

Voilà

Si je me souviens bien, l'épisode avec Willis, donc celui là, qui est le plus sympa, n'est pas écrit pas Tarantino mais Avary. C'est le seul moment que j’apprécie dans ce film vu à l'époque et qui m'avait emmerdé au plus haut point. Revu en LD et pas depuis car ça ne passe pas cher moi ... c'est bien filmé, bien joué, bien tout mais je peux pas, trop chiant ...

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Gros tournant dans ma vie de cinéphile. Le film qui m'a fait regarder autre chose que des gros blockbusters américains. Perso, ma scène préférée, c'est celle de la dernière partie avec Keitel, Travolta, Tarantino et Jackson. Je pourrais la voir tous les jours .

 

Dans mon Top 10

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Pas de narration trépidante et de montée en puissance à la Django Unchained, mais un film qu'on aime revoir, comme on reverrait des potes, des connaissances, inlassablement...Mais, tout en connaissant par coeur chaque détail de chaque scène, on tente de se concentrer sur quelques détails, des trucs sans grande importance mais qui en disent long (comme souvent chez Tarantino).

 

Du coup, le petit message adressé aux (déjà) détracteurs du cinéaste transparaît, à travers une scène en particulier, qui pouvait sembler anecdotique mais qui, à travers la belle filmo que son auteur désormais peut afficher, reste troublante. Éloquente.

 

Dans son discours final, Jules, après moult péripéties, devient soudainement "lucide". Il comprend que ce qu'il utilise depuis des années, à savoir sa fameuse citation biblique, dépasse le stade du clin d'oeil, de la frime, de la classe, du "ça en jette" (le genre d'arguments aisément utilisables pour critiquer Tarantino). Derrière l'usage un brin "immature" de cette citation, Jules explique qu'il y a un véritable sens, une RÉFLEXION indiscutable (voire plusieurs sens). Et qu'il vient de comprendre. Que ce n'est pas que du vide tape-à-l'oeil. Le cinoche de Tarantino, c'est un peu ça, cette salade macédoine de références populaires (de Kung Fu aux textes sacrés), aisément critiquable pour certains, mais riche de significations pour les autres.

 

D'avance, Tarantino ne voulait pas rester l'homme de deux films et, de façon explicite, l'énonce clairement: je ne suis pas que le gamin un peu foufou pour qui vous me prenez tous, j'en ai dans le crâne. Et mon cinéma vous le prouvera.

 

En gros.

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  • 3 years later...

Revu hier soir. Pas revu depuis un bail et je l'ai redécouvert.

A l'époque où je le matais en boucle, je ne captais pas bien l'univers de QT, les pulp, les films bis, etc... Et je crois que je l'aime plus qu'avant ce film.

Et Uma et ses yeux bleus strabiques est magnifique, Travolta est ouf aussi.

Y aura jamais plus de films de ce genre.

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