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MONSIEUR OUINE

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Tout ce qui a été posté par MONSIEUR OUINE

  1. MONSIEUR OUINE

    NIFFF 2011

    J'aimerais pouvoir regarder, si seulement elles n'étaient pas hébergées chez Vimeo. Lecture impossible, sautes constantes... Relou.
  2. « La Môme » c'est du cinéma d'auteur ?
  3. Yes. Sûr, il est bourré de défauts, de faiblesses, mais j'aime bien l'univers, les acteurs, le côté "bon, on aurais bien aimé avoir quelques millions de dollars pour faire un truc plus crédible, mais c'est pas grave, balance la sauce Johnny !"
  4. L'idée que quelqu'un soit capable de répondre avec exactitude à ces questions retirerait toute sa subtilité à ce sympathique final.
  5. Je dois bien être le seul gars sur terre qui aime Ghost Of Mars, qui l'a en DVD et qui le regarde tous les ans...
  6. C'est qui cette meuf pour avoir la prétention de faire une "trilogie sur sa life" ? Ma question est sérieuse. Nico, c'est quoi les films que la meuf a tourné mineure ? Des boulards ? Ma question est encore sérieuse.
  7. Pour contrer le PS aux prochaines présidentielles, l'UMP a dans ses cartes Nafissatou Diallo et Tristane Banon. Pour contrer l'UMP, le PS a "La Conquête, un film de Xavier Durringer".
  8. Un film choral ? Tu plaisantes, y'a 3 personnages, depuis quand c'est difficile de réaliser un film avec trois personnages, dont un est par dessus le marché le "héros" et le point nodal du film ? Le problème de ce film, c'est juste que les trois histoires se rejoignent très mal, c'est mal foutu, mal écris, et ça ne mène à rien de bien bandant. Deux plombes de film pour ça ? Bah oui... Ma théorie : je suis sur que Clint a sous-traité la mise en scène de la "partie Française" à Claude Lelouch. En toi cas, qui que soit l'auteur, il a réussi à se mettre au niveau de la médiocrité du cinéma Français actuel.
  9. C'est un peu le problème de tous les films de De la Iglesia, je trouve. L'ironie et leur méchanceté, c'est leur force, mais aussi leur faiblesse. celui-là est vraiment sauvé par sa rage jusqu'auboutiste.
  10. Cool, il me tarde de voir ce drôle de film...
  11. Attention, c'est du lourd. C'est presque 1h20 de plans fixes à écouter un mec jacter. Pendant qu'il parle, il fait des petits dessins sur un cahier blanc, mais bon... Pas besoin de nous faire un dessin, ce qu'il raconte dépasse souvent l'entendement. C'est l'anti-Torture Porn par excellence, ça renvoi dans les choux pas mal de fictions putassières. La réalité est toujours plus forte que la fiction, ce film en est une preuve supplémentaire. Mais c'est aussi un examen de conscience qui se déroule sous nos yeux. Un type qui a derrière lui 20 ans de crimes atroces, qui les raconte en se vantant... tout en les regrettant amèrement. Aujourd'hui le bonhomme est en cavale, sa tête est mise à prix par les dirigeants son ex-cartel. Ce film est vraiment un "document rescapé", un truc de ouf, comme le disent les jeunes.
  12. Comprendre Mulholland Drive c'est pourtant facile au bout de 12 visions.
  13. Les roquets aboient toujours très fort pour compenser leur petite taille.
  14. Un plan du pire film de Malick = 200 fois la filmo complète de ce tâcheron. Qu'il ferme sa gueule.
  15. Me tarde de le voir. Vivement que ça sorte en DVD. Je ne crois même pas qu'il y ait eu une copie dans une grande ville comme Lyon...
  16. Il réussit un film sur deux (Creep / Black Death), c'est déjà bien, je trouve...
  17. Sortie début août. Wid Side on l'air d'y croire à fond.
  18. Mon pauvre tu as l'air si étouffé Ceci dit, il me semble que le propos de Tarkovski est plus du côté de l'observation de la la disparition de la spiritualité que du côté de la défense de la religion en tant qu'organisation humaine. J'ignore par ailleurs si c'est un discours que l'on retrouve dans le livre des frères Strougatski, ou si c'est un discours qu'il a plaqué lors de l'adaptation. Ça donne envie de se pencher sur le livre, ceci dit (réédité récemment par Denoël dans une version "complète") Je crois qu'au final sa lecture du livre est plutôt Nietzschéenne, cette peinture de la fin de l'homme qui ne cherche plus à se surpasser, cette victoire de "l'homme ordinaire" et des superstitions. "Malheur ! Arrive le temps où de l'homme ne naîtra plus aucune étoile. Malheur ! Arrive le temps du plus méprisable des hommes, qui lui-même plus ne se peux mépriser". (Ainsi parlait Zarathoustra)
  19. Et c'est positif ou non ? Bah selon Tarkovski, non, le monde est devenu une grande zone où chacun vient projeter ses illusions. La fin est quand même très ouverte. Et appel à un peu d'espoir.
  20. Un très grand film sur la dé-christianisation du monde. Voilà.
  21. Moi j'ai adoré. Surtout la première heure. Quelques raccourcis scénaristiques, quelques maladresses (mais c'est pour ça qu'on aime de la Iglesia en général), mais le mélange humour noir / tragédie fonctionne du tonnerre, sur la quasi totalité du film on ne sait jamais si on doit rire ou hurler. C'est souvent les deux à la fois. C'était un pari qui aurait pu faire un flop mais qui pousse le film vers le haut. Reste que la scène finale sur la croix est vraiment raté, et que certains plans posent vraiment problème (les plans en image de synthèse qui rappellent le final de X-Men II - ou du I peut-être - sur la statue de la liberté). J'ai trouvé ces plans vraiment déplacés et ridicules, comme si d'un coups un réal de blockbuster ricain avait pris le contrôle du film pour nous donner une dose de "Grand SFX Spectacle". A ce moment là on a l'impression d'un gros copié/collé, on sent bien le plan bricolé par un studio de SFX qui n'a pas vu le reste du film et qui réalise sa commande. C'est bien fait, mais BORDEL, QU'EST-CE QUE ÇA VIENT FOUTRE LA ???? Le film n'avait aps besoin de ça. On sent à ce moment là que de la Iglesia veux en donner pour son argent au "grand public" venu voir "un film espagnol qui se la pète comme un film américain". Idem pour la scène de l'explosion de voiture. Pour moi c'est du "spam-sfx" ce genre de plans. Ça me sort du film, ça ne colle pas au reste du métrage, c'est vraiment un truc qui me fatigue dans le cinéma contemporain.
  22. C'est vrai pour LA LIGNE ROUGE. Depuis, Malick court après la puissance évocatrice et poétique de son propre film. Il reste de très grands moments dans les deux derniers, mais LA LIGNE ROUGE reste loin, très loin devant.
  23. Mouais. Un film un poil plus long et mieux monté, oui, un film de 6 heures, non. Je garde quand même avec le recul la sale impression d'avoir vu un "montage de travail"...
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